L'abbaye Notre - Dame d'Aiguebelle. L'art cistercien réinventé
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- Nombre de pages264
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids1.376 kg
- Dimensions22,7 cm × 28,7 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-7084-1021-3
- EAN9782708410213
- Date de parution07/06/2017
- CollectionArchitectures
- ÉditeurPicard
Résumé
L'abbaye d'Aiguebelle, située entre Montélimar et Grignan dans le département de la Drôme, a subi diverses reconstructions et aménagements pour s'adapter aux besoins de la communauté monastique. Conçue au xiie siècle pour une communauté réduite, elle en a accueilli près de 240 au xixe siècle. Fait marquant, les nouveaux bâtiments furent réalisés en conservant l'enveloppe et le plan masse d'une abbaye cistercienne type.
Tel n'est pas le cas au Thoronet, à Sénanque ou à Silvacane, abbayes cisterciennes voisines privées de tout ou partie des bâtiments de la clôture. La communauté d'Aiguebelle, quant à elle, conserva sa cohérence à l'ensemble des bâtiments. Cet ouvrage de l'historien Yves Bottineau-Fuchs retrace l'histoire de l'abbaye, depuis sa création jusqu'à l'époque actuelle : la fondation de l'abbaye, la réforme de l'ordre cistercien, les liens avec les puissances politiques voisines et les autres abbayes de la région, la tourmente de la Révolution, l'expulsion et le retour des moines trappistes qui à leur tour fondent d'autres abbayes (notamment l'abbaye de Tibhirine en Algérie).
Il explore aussi en détail, à partir d'une étude archéologique menée sur plusieurs années, les fondements et l'évolution de l'architecture d'Aiguebelle. Il relève que les interventions menées par les moines au cours des temps, dans la tradition des moines bâtisseurs, aboutissent à un art "cistercien" du xxe siècle. La stricte observance adoptée à Aiguebelle s'inscrit donc dans le respect des visions esthétiques propres à l'ordre de Saint Bernard.
Cet ouvrage propose ainsi une réflexion sur le style cistercien et sa réinvention à travers les âges. Il retrace enfin la vie des moines sur le site, les différentes exploitations et politiques adoptées pour vivre en autarcie, dont la fameuse chocolaterie d'Aiguebelle, disparue en 1978, fut un exemple parmi d'autres. Une invitation à suivre une abbaye sur près de 10 siècles à partir de nombreuses illustrations anciennes et en couleurs.
Tel n'est pas le cas au Thoronet, à Sénanque ou à Silvacane, abbayes cisterciennes voisines privées de tout ou partie des bâtiments de la clôture. La communauté d'Aiguebelle, quant à elle, conserva sa cohérence à l'ensemble des bâtiments. Cet ouvrage de l'historien Yves Bottineau-Fuchs retrace l'histoire de l'abbaye, depuis sa création jusqu'à l'époque actuelle : la fondation de l'abbaye, la réforme de l'ordre cistercien, les liens avec les puissances politiques voisines et les autres abbayes de la région, la tourmente de la Révolution, l'expulsion et le retour des moines trappistes qui à leur tour fondent d'autres abbayes (notamment l'abbaye de Tibhirine en Algérie).
Il explore aussi en détail, à partir d'une étude archéologique menée sur plusieurs années, les fondements et l'évolution de l'architecture d'Aiguebelle. Il relève que les interventions menées par les moines au cours des temps, dans la tradition des moines bâtisseurs, aboutissent à un art "cistercien" du xxe siècle. La stricte observance adoptée à Aiguebelle s'inscrit donc dans le respect des visions esthétiques propres à l'ordre de Saint Bernard.
Cet ouvrage propose ainsi une réflexion sur le style cistercien et sa réinvention à travers les âges. Il retrace enfin la vie des moines sur le site, les différentes exploitations et politiques adoptées pour vivre en autarcie, dont la fameuse chocolaterie d'Aiguebelle, disparue en 1978, fut un exemple parmi d'autres. Une invitation à suivre une abbaye sur près de 10 siècles à partir de nombreuses illustrations anciennes et en couleurs.
L'abbaye d'Aiguebelle, située entre Montélimar et Grignan dans le département de la Drôme, a subi diverses reconstructions et aménagements pour s'adapter aux besoins de la communauté monastique. Conçue au xiie siècle pour une communauté réduite, elle en a accueilli près de 240 au xixe siècle. Fait marquant, les nouveaux bâtiments furent réalisés en conservant l'enveloppe et le plan masse d'une abbaye cistercienne type.
Tel n'est pas le cas au Thoronet, à Sénanque ou à Silvacane, abbayes cisterciennes voisines privées de tout ou partie des bâtiments de la clôture. La communauté d'Aiguebelle, quant à elle, conserva sa cohérence à l'ensemble des bâtiments. Cet ouvrage de l'historien Yves Bottineau-Fuchs retrace l'histoire de l'abbaye, depuis sa création jusqu'à l'époque actuelle : la fondation de l'abbaye, la réforme de l'ordre cistercien, les liens avec les puissances politiques voisines et les autres abbayes de la région, la tourmente de la Révolution, l'expulsion et le retour des moines trappistes qui à leur tour fondent d'autres abbayes (notamment l'abbaye de Tibhirine en Algérie).
Il explore aussi en détail, à partir d'une étude archéologique menée sur plusieurs années, les fondements et l'évolution de l'architecture d'Aiguebelle. Il relève que les interventions menées par les moines au cours des temps, dans la tradition des moines bâtisseurs, aboutissent à un art "cistercien" du xxe siècle. La stricte observance adoptée à Aiguebelle s'inscrit donc dans le respect des visions esthétiques propres à l'ordre de Saint Bernard.
Cet ouvrage propose ainsi une réflexion sur le style cistercien et sa réinvention à travers les âges. Il retrace enfin la vie des moines sur le site, les différentes exploitations et politiques adoptées pour vivre en autarcie, dont la fameuse chocolaterie d'Aiguebelle, disparue en 1978, fut un exemple parmi d'autres. Une invitation à suivre une abbaye sur près de 10 siècles à partir de nombreuses illustrations anciennes et en couleurs.
Tel n'est pas le cas au Thoronet, à Sénanque ou à Silvacane, abbayes cisterciennes voisines privées de tout ou partie des bâtiments de la clôture. La communauté d'Aiguebelle, quant à elle, conserva sa cohérence à l'ensemble des bâtiments. Cet ouvrage de l'historien Yves Bottineau-Fuchs retrace l'histoire de l'abbaye, depuis sa création jusqu'à l'époque actuelle : la fondation de l'abbaye, la réforme de l'ordre cistercien, les liens avec les puissances politiques voisines et les autres abbayes de la région, la tourmente de la Révolution, l'expulsion et le retour des moines trappistes qui à leur tour fondent d'autres abbayes (notamment l'abbaye de Tibhirine en Algérie).
Il explore aussi en détail, à partir d'une étude archéologique menée sur plusieurs années, les fondements et l'évolution de l'architecture d'Aiguebelle. Il relève que les interventions menées par les moines au cours des temps, dans la tradition des moines bâtisseurs, aboutissent à un art "cistercien" du xxe siècle. La stricte observance adoptée à Aiguebelle s'inscrit donc dans le respect des visions esthétiques propres à l'ordre de Saint Bernard.
Cet ouvrage propose ainsi une réflexion sur le style cistercien et sa réinvention à travers les âges. Il retrace enfin la vie des moines sur le site, les différentes exploitations et politiques adoptées pour vivre en autarcie, dont la fameuse chocolaterie d'Aiguebelle, disparue en 1978, fut un exemple parmi d'autres. Une invitation à suivre une abbaye sur près de 10 siècles à partir de nombreuses illustrations anciennes et en couleurs.