L'équerre et le pinceau. L'architecture dans le tableau IXe-XXe siècle
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- Nombre de pages384
- PrésentationBroché
- Poids0.495 kg
- Dimensions13,0 cm × 24,0 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-330-02413-0
- EAN9782330024130
- Date de parution02/10/2013
- ÉditeurActes Sud
Résumé
Edifier un monde habitable, tel fut de tout temps le rôle majeur de l'architecte, tandis que, de son côté, le peintre n'a jamais cessé de nourrir l'imaginaire architectural, même lorsqu'il figurait édifices et paysages urbains identifiables. Mais en inventant caprices, cités oniriques ou idéales, le peintre ne se limitait plus à glorifier l'ars edificandi, il le fécondait. L'"équerre" et le "pinceau" ont donc, des siècles durant, collaboré, fût-ce à leur insu et jusque dans leur rivalité.
Cet ouvrage s'attache à cerner les moments essentiels de l'ambivalente histoire qui conduisit peintres et architectes à pratiquer excellemment les deux arts, dès lors qu'à la Renaissance la fierté d'appartenir aux arts libéraux put devenir l'apanage des uns et des autres. Si, dès l'âge classique, les voies de la peinture se sont séparées de celles de l'architecture, notre postmodernité ne peut que constater la disparition du peintre au profit de l'irrésistible ascension du plasticien, dans le temps où l'architecte ne peut plus rien sans l'ingénieur.
Cet ouvrage s'attache à cerner les moments essentiels de l'ambivalente histoire qui conduisit peintres et architectes à pratiquer excellemment les deux arts, dès lors qu'à la Renaissance la fierté d'appartenir aux arts libéraux put devenir l'apanage des uns et des autres. Si, dès l'âge classique, les voies de la peinture se sont séparées de celles de l'architecture, notre postmodernité ne peut que constater la disparition du peintre au profit de l'irrésistible ascension du plasticien, dans le temps où l'architecte ne peut plus rien sans l'ingénieur.
Edifier un monde habitable, tel fut de tout temps le rôle majeur de l'architecte, tandis que, de son côté, le peintre n'a jamais cessé de nourrir l'imaginaire architectural, même lorsqu'il figurait édifices et paysages urbains identifiables. Mais en inventant caprices, cités oniriques ou idéales, le peintre ne se limitait plus à glorifier l'ars edificandi, il le fécondait. L'"équerre" et le "pinceau" ont donc, des siècles durant, collaboré, fût-ce à leur insu et jusque dans leur rivalité.
Cet ouvrage s'attache à cerner les moments essentiels de l'ambivalente histoire qui conduisit peintres et architectes à pratiquer excellemment les deux arts, dès lors qu'à la Renaissance la fierté d'appartenir aux arts libéraux put devenir l'apanage des uns et des autres. Si, dès l'âge classique, les voies de la peinture se sont séparées de celles de l'architecture, notre postmodernité ne peut que constater la disparition du peintre au profit de l'irrésistible ascension du plasticien, dans le temps où l'architecte ne peut plus rien sans l'ingénieur.
Cet ouvrage s'attache à cerner les moments essentiels de l'ambivalente histoire qui conduisit peintres et architectes à pratiquer excellemment les deux arts, dès lors qu'à la Renaissance la fierté d'appartenir aux arts libéraux put devenir l'apanage des uns et des autres. Si, dès l'âge classique, les voies de la peinture se sont séparées de celles de l'architecture, notre postmodernité ne peut que constater la disparition du peintre au profit de l'irrésistible ascension du plasticien, dans le temps où l'architecte ne peut plus rien sans l'ingénieur.