L’une des œuvres les plus connues de George Orwell est 1984, dystopie qui, sortie après la 2de guerre mondiale, résonne encore de nos jours .
Dans ce Julia, Sandra Newman est loin de nous en faire une banale réécriture. L’autrice complète l’original, en exploite les zones d’ombres, pour faire vivre cet univers dystopique de Big Brother, sortant du carcan fermé de Winston Smith, pour prendre le point de vue de Julia, seul vrai personnage féminin chez Orwell.
Récit plus féministe, plus cynique, il permet de développer des aspects absents dans 1984 : l’avant Big Brother, les relations sociales entre les diverses classes, la place de la femme, etc.
Sans égaler le chef-d’œuvre d’origine, Julia permet de réactualiser les débats de l’œuvre, toujours très actuels, et n’en reste pas moins un très bon roman d’anticipation. A lire !
L’une des œuvres les plus connues de George Orwell est 1984, dystopie qui, sortie après la 2de guerre mondiale, résonne encore de nos jours .
Dans ce Julia, Sandra Newman est loin de nous en faire une banale réécriture. L’autrice complète l’original, en exploite les zones d’ombres, pour faire vivre cet univers dystopique de Big Brother, sortant du carcan fermé de Winston Smith, pour prendre le point de vue de Julia, seul vrai personnage féminin chez Orwell.
Récit plus féministe, plus cynique, il permet de développer des aspects absents dans 1984 : l’avant Big Brother, les relations sociales entre les diverses classes, la place de la femme, etc.
Sans égaler le chef-d’œuvre d’origine, Julia permet de réactualiser les débats de l’œuvre, toujours très actuels, et n’en reste pas moins un très bon roman d’anticipation. A lire !