Jouer, trahir, crever

Par : Frédéric Massot
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  • Nombre de pages242
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-268-10775-2
  • EAN9782268107752
  • Date de parution31/08/2022
  • ÉditeurRocher (Editions du)

Résumé

Montevideo, 1930, première coupe du monde de football : Alexandre Villaplane est le capitaine des Bleus. Une vedette du ballon rond, le Zidane de l'époque. Il connaît la gloire et les paillettes, avant de se perdre. Dans un sport marqué par la corruption, son attrait pour les combines l'entraîne dans la petite délinquance. Celui que l'on surnomme le "bel Alex" , réputé pour son charme et son bagout, est emprisonné plusieurs fois.
Alors que Paris devient une capitale allemande, Villaplane poursuit sa chute. Il est recruté par la Carlingue incarnée par Henri Lafont. Cette "Gestapo française" lui permet d'assouvir sa soif d'argent et de mener la grande vie. Jusqu'où le conduiront son cynisme et son abjection ? Mêlant savoir documentaire et fiction, Jouer, trahir, crever est le roman-vrai de la déchéance et de l'impossible rédemption d'un homme.
Vivant entre Paris et Nice, Frédéric Massot a écrit et réalisé des documentaires et des courts-métrages. Il aime autant lire L'Equipe que La Mort est mon métier. Jouer, trahir, crever est son premier roman.
Montevideo, 1930, première coupe du monde de football : Alexandre Villaplane est le capitaine des Bleus. Une vedette du ballon rond, le Zidane de l'époque. Il connaît la gloire et les paillettes, avant de se perdre. Dans un sport marqué par la corruption, son attrait pour les combines l'entraîne dans la petite délinquance. Celui que l'on surnomme le "bel Alex" , réputé pour son charme et son bagout, est emprisonné plusieurs fois.
Alors que Paris devient une capitale allemande, Villaplane poursuit sa chute. Il est recruté par la Carlingue incarnée par Henri Lafont. Cette "Gestapo française" lui permet d'assouvir sa soif d'argent et de mener la grande vie. Jusqu'où le conduiront son cynisme et son abjection ? Mêlant savoir documentaire et fiction, Jouer, trahir, crever est le roman-vrai de la déchéance et de l'impossible rédemption d'un homme.
Vivant entre Paris et Nice, Frédéric Massot a écrit et réalisé des documentaires et des courts-métrages. Il aime autant lire L'Equipe que La Mort est mon métier. Jouer, trahir, crever est son premier roman.

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Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Il s'est perdu !
Il aurait pu rester un dieu du ballon rond ! Il aurait pu être le “chéri de ces dames”, n’était-il pas considéré comme beau gosse ? Il aurait pu être valeureux mais il fut veule ! Il aurait pu réfléchir à ce qu’il faisait mais il a préféré céder aux sirènes de l’argent facile et au pouvoir du bourreau, après n’avoir été qu’un voyou et une petite frappe ! Lâche jusqu’au bout pour n’avoir pas su s’éloigner de la pègre avant qu’il ne soit trop tard ni assumer ses actes ! Ecrit sans manichéisme ce roman biographique historique, se lit aisément bien que je ne me sois pas sentie très propre tout au long de sa lecture ! C’est une histoire de la France qui a été écrite par beaucoup de monde, même si la majorité des collabos n’a pas été aussi loin dans l’abjection que Alexandre Villaplane et d’une manière aussi désinvolte ! J’ai beaucoup aimé les parties personnelles de l’auteur quand il a fait ses recherches, quand il a parlé de sa famille et de la honte avec laquelle il faut vivre et qui pèse sur les épaules de ceux qui sont nés dans l’après-guerre ! Il a fait preuve de sensibilité et de délicatesse, celles qui ont tant manqué à Villaplane ! #Jouertrahircrever #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2022
Il aurait pu rester un dieu du ballon rond ! Il aurait pu être le “chéri de ces dames”, n’était-il pas considéré comme beau gosse ? Il aurait pu être valeureux mais il fut veule ! Il aurait pu réfléchir à ce qu’il faisait mais il a préféré céder aux sirènes de l’argent facile et au pouvoir du bourreau, après n’avoir été qu’un voyou et une petite frappe ! Lâche jusqu’au bout pour n’avoir pas su s’éloigner de la pègre avant qu’il ne soit trop tard ni assumer ses actes ! Ecrit sans manichéisme ce roman biographique historique, se lit aisément bien que je ne me sois pas sentie très propre tout au long de sa lecture ! C’est une histoire de la France qui a été écrite par beaucoup de monde, même si la majorité des collabos n’a pas été aussi loin dans l’abjection que Alexandre Villaplane et d’une manière aussi désinvolte ! J’ai beaucoup aimé les parties personnelles de l’auteur quand il a fait ses recherches, quand il a parlé de sa famille et de la honte avec laquelle il faut vivre et qui pèse sur les épaules de ceux qui sont nés dans l’après-guerre ! Il a fait preuve de sensibilité et de délicatesse, celles qui ont tant manqué à Villaplane ! #Jouertrahircrever #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2022
Jouer, trahir, crever
5/5
Frédéric Massot
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