Cher Vous,
Joseph est un gamin qui fut abandonné sur le parvis d’une église, trouvé par Marinette, la bonne.
Il est recueilli par le curé. Celui-ci décida de l’élever. Monsieur l’Abbé voyait de grandes choses pour son protégé, un bel avenir, certainement pas de se retrouver au bagne de Cayenne en Guyane.
Jos est une magnifique bande dessinée : l’histoire d’un homme accusé d’un meurtre qu’il dit ne pas avoir commis. Malgré cela, il se retrouve condamné à dix ans de bagne et la relégation à vie en terre de Guyane.
Jos va donc n’avoir qu’un seul but : prouver
son innocence et trouver le coupable. Classique, mais efficace, l’époque d’une condamnation où la peine était les travaux forcés, suivis de l’exil, pas de rédemption possible une fois la peine exécutée…
Je ne peux en dire plus sur l’intrigue en elle-même sans divulgâcher, ce qui serait dommage.
Si j’ai aimé cet album, l’histoire, le trait de Ruggeri, sort de l’ordinaire. Il travaille particulièrement les visages, qui la plupart du temps ont des expressions neutres, comme s’ils étaient figés. Mais dès qu’une scène est violente, si la haine, la méchanceté, la douleur et la peur sont présents, ils sont alors exacerbées, ce qui met encore plus en relief cette histoire.
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/03/15/38867683.html
Coup au coeur !
Cher Vous,
Joseph est un gamin qui fut abandonné sur le parvis d’une église, trouvé par Marinette, la bonne.
Il est recueilli par le curé. Celui-ci décida de l’élever. Monsieur l’Abbé voyait de grandes choses pour son protégé, un bel avenir, certainement pas de se retrouver au bagne de Cayenne en Guyane.
Jos est une magnifique bande dessinée : l’histoire d’un homme accusé d’un meurtre qu’il dit ne pas avoir commis. Malgré cela, il se retrouve condamné à dix ans de bagne et la relégation à vie en terre de Guyane.
Jos va donc n’avoir qu’un seul but : prouver son innocence et trouver le coupable. Classique, mais efficace, l’époque d’une condamnation où la peine était les travaux forcés, suivis de l’exil, pas de rédemption possible une fois la peine exécutée…
Je ne peux en dire plus sur l’intrigue en elle-même sans divulgâcher, ce qui serait dommage.
Si j’ai aimé cet album, l’histoire, le trait de Ruggeri, sort de l’ordinaire. Il travaille particulièrement les visages, qui la plupart du temps ont des expressions neutres, comme s’ils étaient figés. Mais dès qu’une scène est violente, si la haine, la méchanceté, la douleur et la peur sont présents, ils sont alors exacerbées, ce qui met encore plus en relief cette histoire.
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/03/15/38867683.html