Jorge Luis Borges & la philosophie
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- Nombre de pages140
- PrésentationBroché
- Poids0.125 kg
- Dimensions10,0 cm × 16,5 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-915741-63-6
- EAN9782915741636
- Date de parution15/05/2010
- CollectionChemins de pensée
- ÉditeurOvadia
Résumé
Borges hait remonter Si son enfance sa fascination constante pour la philosophie. Son père lui avait fait en effet découvrir, sur un échiquier de cèdre, la course d'Achille et de la tortue. L'auteur de La Bibliothèque de Babel est sans doute l'écrivain qui a le plus souvent fait mention de philosophes dans son oeuvre. Tous, dans la lignée de Platon et d'Aristote, les "éternels antagonistes" de l'histoire, évoquent un univers idéaliste dans lequel les choses et les êtres, ainsi que Borges lui-même, sont les multiples réfractions d'une seule et même identité. Le présent essai sur la philosophie borgienne est accompagné d'un manuscrit inédit de Don Isidro Parodi, dont l'écrivain argentin a utilisé le nom dans certains de ses contes. Il lève un coin du voile sur ce que le penseur appelait, dans son Eloge de l'ombre, mon centre, "mon algèbre et ma clef".
Borges hait remonter Si son enfance sa fascination constante pour la philosophie. Son père lui avait fait en effet découvrir, sur un échiquier de cèdre, la course d'Achille et de la tortue. L'auteur de La Bibliothèque de Babel est sans doute l'écrivain qui a le plus souvent fait mention de philosophes dans son oeuvre. Tous, dans la lignée de Platon et d'Aristote, les "éternels antagonistes" de l'histoire, évoquent un univers idéaliste dans lequel les choses et les êtres, ainsi que Borges lui-même, sont les multiples réfractions d'une seule et même identité. Le présent essai sur la philosophie borgienne est accompagné d'un manuscrit inédit de Don Isidro Parodi, dont l'écrivain argentin a utilisé le nom dans certains de ses contes. Il lève un coin du voile sur ce que le penseur appelait, dans son Eloge de l'ombre, mon centre, "mon algèbre et ma clef".