Désinvolte, c'est le minimum que l'on puisse dire de ce texte, de ce monologue désabusé où fantasmes, obsessions, souvenirs s'entremêlent dans une trame finement composée, et où la grande et la petite histoire ne font qu'une seule toile d'araignée dans laquelle la narratrice – et nous tous, nous débattons.
Se jouant de toute morale, ce texte à l'humour noir, tout en déjouant les rouages du conformisme et de l'uniformisation, nous parle de l'essentiel : la quête de soi-même, de sa voix, de son corps.
Désinvolte, c'est le minimum que l'on puisse dire de ce texte, de ce monologue désabusé où fantasmes, obsessions, souvenirs s'entremêlent dans une trame finement composée, et où la grande et la petite histoire ne font qu'une seule toile d'araignée dans laquelle la narratrice – et nous tous, nous débattons.
Se jouant de toute morale, ce texte à l'humour noir, tout en déjouant les rouages du conformisme et de l'uniformisation, nous parle de l'essentiel : la quête de soi-même, de sa voix, de son corps.