Je sais bien mais quand même. Essai pour une sémiotique des images et de la croyance
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.22 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-9542852-2-1
- EAN9782954285221
- Date de parution01/09/2013
- CollectionSIC
- ÉditeurNon Standard
Résumé
De quels ciels tombent nos histoires ? Comment oublions-nous volontairement de quel bois sont faits nos récits ? Qui dupe qui ? Pourquoi les images sont-elles de belles légendes ? La croyance est-elle une intelligence ? Cet essai raconte une histoire : celle des langages qui jamais ne sont tombés du ciel. Ni du ciel des anciens avec leurs cohortes de dieux, ni du ciel de nos réels contemporains si bien construits par nos médias.
Une histoire et une sémiologie des rapports de l'homme à ses langages révèlent notre grande capacité à oublier la part terrestre, politique et sociale des textes et des images que nous partageons. La croyance, face aux images et aux médias, c'est cela : oublier volontairement et provisoirement les langages, leurs auteurs, leurs contextes, leurs rhétoriques, leurs généalogies, leurs circulations, et les prendre tels quels.
C'est à ce prix que nous pouvons nous raconter nos légendes.
Une histoire et une sémiologie des rapports de l'homme à ses langages révèlent notre grande capacité à oublier la part terrestre, politique et sociale des textes et des images que nous partageons. La croyance, face aux images et aux médias, c'est cela : oublier volontairement et provisoirement les langages, leurs auteurs, leurs contextes, leurs rhétoriques, leurs généalogies, leurs circulations, et les prendre tels quels.
C'est à ce prix que nous pouvons nous raconter nos légendes.
De quels ciels tombent nos histoires ? Comment oublions-nous volontairement de quel bois sont faits nos récits ? Qui dupe qui ? Pourquoi les images sont-elles de belles légendes ? La croyance est-elle une intelligence ? Cet essai raconte une histoire : celle des langages qui jamais ne sont tombés du ciel. Ni du ciel des anciens avec leurs cohortes de dieux, ni du ciel de nos réels contemporains si bien construits par nos médias.
Une histoire et une sémiologie des rapports de l'homme à ses langages révèlent notre grande capacité à oublier la part terrestre, politique et sociale des textes et des images que nous partageons. La croyance, face aux images et aux médias, c'est cela : oublier volontairement et provisoirement les langages, leurs auteurs, leurs contextes, leurs rhétoriques, leurs généalogies, leurs circulations, et les prendre tels quels.
C'est à ce prix que nous pouvons nous raconter nos légendes.
Une histoire et une sémiologie des rapports de l'homme à ses langages révèlent notre grande capacité à oublier la part terrestre, politique et sociale des textes et des images que nous partageons. La croyance, face aux images et aux médias, c'est cela : oublier volontairement et provisoirement les langages, leurs auteurs, leurs contextes, leurs rhétoriques, leurs généalogies, leurs circulations, et les prendre tels quels.
C'est à ce prix que nous pouvons nous raconter nos légendes.