Je m'appelais Julien Tournayre.... J'étais agriculteur au pays de Billom dans la Toscane auvergnate
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages88
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.135 kg
- Dimensions14,5 cm × 20,5 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-491832-03-2
- EAN9782491832032
- Date de parution20/10/2020
- ÉditeurLa Galipote
Résumé
En tant que Billomois de souche, tant du côté paternel que maternel, il n'y a rien d'étonnant à ce que l'auteur ait saisi l'opportunité des témoignages familiaux pour nous dessiner l'évolution sociologique de sa contré natale au cours du siècle écoulé. 4e de couverture Les premières faucheuses mécaniques, j'y étais favorable. Les autres disaient : "Il ne faut pas en acheter, les vaches ne veulent pas manger de ce foi, ça leur pique le nez".
En fait, ils disaient ça parce qu'ils ne pouvaient pas s'en acheter. Ils ne possédaient pour travailler qu'une fourche, une bêche et une faucille, alors comme ils ne connaissaient pas autre chose parce qu'ils n'en avaient pas les moyens, ils étaient contre le progrès. La vie de Julien Tournayre (1904-1999) épouse le XXe siècle. Elle illustre l'évolution des modes de vie telle que l'a connue durant cette période la pays de Billom.
Cette riante contrée, située aux confins de la Grande Limagne et du Livradois, que l'on surnomme la Toscane auvergnate. Issu d'une famille paysanne de Chas, un village du cru, Julien Tournayre est devenu chef d'exploitation aux Cohériers, un hameau de la commune voisine du Montmorin, suite à son mariage avec Hélène Fontvieille. C'est en effet la ferme de ces beaux-parents qu'il a fait prospérer en se familiarisant avec les nouvelles techniques agricoles.
Une vie de labeur collant à un terroir, mais dont le parcours est moins banal que d'aucuns l'imagineraient tant cet homme éclairé était imprégné d'un profond humanisme.
En fait, ils disaient ça parce qu'ils ne pouvaient pas s'en acheter. Ils ne possédaient pour travailler qu'une fourche, une bêche et une faucille, alors comme ils ne connaissaient pas autre chose parce qu'ils n'en avaient pas les moyens, ils étaient contre le progrès. La vie de Julien Tournayre (1904-1999) épouse le XXe siècle. Elle illustre l'évolution des modes de vie telle que l'a connue durant cette période la pays de Billom.
Cette riante contrée, située aux confins de la Grande Limagne et du Livradois, que l'on surnomme la Toscane auvergnate. Issu d'une famille paysanne de Chas, un village du cru, Julien Tournayre est devenu chef d'exploitation aux Cohériers, un hameau de la commune voisine du Montmorin, suite à son mariage avec Hélène Fontvieille. C'est en effet la ferme de ces beaux-parents qu'il a fait prospérer en se familiarisant avec les nouvelles techniques agricoles.
Une vie de labeur collant à un terroir, mais dont le parcours est moins banal que d'aucuns l'imagineraient tant cet homme éclairé était imprégné d'un profond humanisme.
En tant que Billomois de souche, tant du côté paternel que maternel, il n'y a rien d'étonnant à ce que l'auteur ait saisi l'opportunité des témoignages familiaux pour nous dessiner l'évolution sociologique de sa contré natale au cours du siècle écoulé. 4e de couverture Les premières faucheuses mécaniques, j'y étais favorable. Les autres disaient : "Il ne faut pas en acheter, les vaches ne veulent pas manger de ce foi, ça leur pique le nez".
En fait, ils disaient ça parce qu'ils ne pouvaient pas s'en acheter. Ils ne possédaient pour travailler qu'une fourche, une bêche et une faucille, alors comme ils ne connaissaient pas autre chose parce qu'ils n'en avaient pas les moyens, ils étaient contre le progrès. La vie de Julien Tournayre (1904-1999) épouse le XXe siècle. Elle illustre l'évolution des modes de vie telle que l'a connue durant cette période la pays de Billom.
Cette riante contrée, située aux confins de la Grande Limagne et du Livradois, que l'on surnomme la Toscane auvergnate. Issu d'une famille paysanne de Chas, un village du cru, Julien Tournayre est devenu chef d'exploitation aux Cohériers, un hameau de la commune voisine du Montmorin, suite à son mariage avec Hélène Fontvieille. C'est en effet la ferme de ces beaux-parents qu'il a fait prospérer en se familiarisant avec les nouvelles techniques agricoles.
Une vie de labeur collant à un terroir, mais dont le parcours est moins banal que d'aucuns l'imagineraient tant cet homme éclairé était imprégné d'un profond humanisme.
En fait, ils disaient ça parce qu'ils ne pouvaient pas s'en acheter. Ils ne possédaient pour travailler qu'une fourche, une bêche et une faucille, alors comme ils ne connaissaient pas autre chose parce qu'ils n'en avaient pas les moyens, ils étaient contre le progrès. La vie de Julien Tournayre (1904-1999) épouse le XXe siècle. Elle illustre l'évolution des modes de vie telle que l'a connue durant cette période la pays de Billom.
Cette riante contrée, située aux confins de la Grande Limagne et du Livradois, que l'on surnomme la Toscane auvergnate. Issu d'une famille paysanne de Chas, un village du cru, Julien Tournayre est devenu chef d'exploitation aux Cohériers, un hameau de la commune voisine du Montmorin, suite à son mariage avec Hélène Fontvieille. C'est en effet la ferme de ces beaux-parents qu'il a fait prospérer en se familiarisant avec les nouvelles techniques agricoles.
Une vie de labeur collant à un terroir, mais dont le parcours est moins banal que d'aucuns l'imagineraient tant cet homme éclairé était imprégné d'un profond humanisme.