J'ai connu le Moyen Age. Récit de vie : enfance

Par : William Grossin
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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.185 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-7475-6162-3
  • EAN9782747561624
  • Date de parution01/02/2004
  • CollectionLe droit à la connaissance
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierNadine Zuili

Résumé

1917 Il n'a pas encore quatre ans. Sa mère vient de mourir, poitrinaire comme on disait alors. Son père, mobilisé, vêtu en soldat, un homme qu'il n'a jamais vu, le dispute à sa famille maternelle. Il l'emmène de nuit, sur ses épaules, parcourt vingt-deux kilomètres et le dépose chez ses parents. Ils ont élevé dix enfants sur les treize qui leur sont nés. Celui-ci sera le onzième. Le petit-fils pousse chez sa grand-mère qui l'aime bien, mais sans chaleur.
Il grandit dans l'atelier de son grand-père, maréchal-ferrant. Tire le soufflet dès cinq ans. Le père, ouvrier boulanger à Paris, ne revient guère à la campagne qu'une fois par an, pour quelques jours. Attentif à tout ce qui se passe autour de lui, l'enfant assiste à un événement capital : l'arrivée du courant électrique dans son village. 1925 Début d'une évolution qui ne s'arrêtera jamais. Pourtant les coutumes résistent au progrès.
Le mode de vie rural ne se modifie guère. Les relations traditionnelles affrontent l'emploi de machines aratoires nouvelles. Ces faits sont rapportés par l'enfant qui les observe et les relate dans une autobiographie. Ce gamin, témoin oculaire d'un passé lointain, déjà effervescent, pose toujours des questions. C'est la juxtaposition de l'évolution d'un village, en proie à la modernité naissante, avec l'éveil d'une enfance aux métiers, à la religion, à l'école du passé, que peint cet ouvrage.
Avec le bonheur d'un style alerte.
1917 Il n'a pas encore quatre ans. Sa mère vient de mourir, poitrinaire comme on disait alors. Son père, mobilisé, vêtu en soldat, un homme qu'il n'a jamais vu, le dispute à sa famille maternelle. Il l'emmène de nuit, sur ses épaules, parcourt vingt-deux kilomètres et le dépose chez ses parents. Ils ont élevé dix enfants sur les treize qui leur sont nés. Celui-ci sera le onzième. Le petit-fils pousse chez sa grand-mère qui l'aime bien, mais sans chaleur.
Il grandit dans l'atelier de son grand-père, maréchal-ferrant. Tire le soufflet dès cinq ans. Le père, ouvrier boulanger à Paris, ne revient guère à la campagne qu'une fois par an, pour quelques jours. Attentif à tout ce qui se passe autour de lui, l'enfant assiste à un événement capital : l'arrivée du courant électrique dans son village. 1925 Début d'une évolution qui ne s'arrêtera jamais. Pourtant les coutumes résistent au progrès.
Le mode de vie rural ne se modifie guère. Les relations traditionnelles affrontent l'emploi de machines aratoires nouvelles. Ces faits sont rapportés par l'enfant qui les observe et les relate dans une autobiographie. Ce gamin, témoin oculaire d'un passé lointain, déjà effervescent, pose toujours des questions. C'est la juxtaposition de l'évolution d'un village, en proie à la modernité naissante, avec l'éveil d'une enfance aux métiers, à la religion, à l'école du passé, que peint cet ouvrage.
Avec le bonheur d'un style alerte.
J'ai connu le Moyen Age
William Grossin
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