Itinéraires de Salah Stétié. Anthologies, textes récents, oeuvres inédites

Par : Paule Plouvier, Renée Ventresque
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  • Nombre de pages284
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.36 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,1 cm
  • ISBN2-7384-4317-6
  • EAN9782738443175
  • Date de parution01/05/1996
  • CollectionCritiques Littéraires
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

"On ne sait, vous lisant, cher Salah Stétié, où - plutôt qu'ailleurs aussitôt - s'interrompre et trouver le point d'arrêt dans la beauté soutenue du livre qui emporte - brûlure de cette neige continûment attisée - jusqu'à l'imbrûlé, dites-vous quelque part. Et, l'ayant quitté, l'éclat adouci accompagne longtemps et loin." André du Bouchet, à propos de L'autre côté brûlé du très pur, (1992). "La poésie de Salah Stétié semble prolonger, par le mot, l'art de la calligraphie islamique - je veux dire de la poésie d'arabesque, à cette différence près : celle-ci, la poésie d'arabesque, s'éloigne de la nature "objectivée" du monde par une intuition religieuse, et celle-là, la poésie de Stétié, par une prise en compte des possibilités d'abstraction qu'offre la corporalité trouble et confuse du monde.
Mais l'intuition reste fondamentalement identique." Adonis, Le signe de feu ou une esthétique du désert, (1984).
"On ne sait, vous lisant, cher Salah Stétié, où - plutôt qu'ailleurs aussitôt - s'interrompre et trouver le point d'arrêt dans la beauté soutenue du livre qui emporte - brûlure de cette neige continûment attisée - jusqu'à l'imbrûlé, dites-vous quelque part. Et, l'ayant quitté, l'éclat adouci accompagne longtemps et loin." André du Bouchet, à propos de L'autre côté brûlé du très pur, (1992). "La poésie de Salah Stétié semble prolonger, par le mot, l'art de la calligraphie islamique - je veux dire de la poésie d'arabesque, à cette différence près : celle-ci, la poésie d'arabesque, s'éloigne de la nature "objectivée" du monde par une intuition religieuse, et celle-là, la poésie de Stétié, par une prise en compte des possibilités d'abstraction qu'offre la corporalité trouble et confuse du monde.
Mais l'intuition reste fondamentalement identique." Adonis, Le signe de feu ou une esthétique du désert, (1984).