Irène Nemirovsky
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- Nombre de pages314
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.222 kg
- Dimensions11,5 cm × 17,4 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-86645-720-4
- EAN9782866457204
- Date de parution18/02/2010
- CollectionLe Félin poche
- ÉditeurFélin (Editions du)
Résumé
Couronnée à titre posthume par le prix Renaudot 2004 pour Suite française, Irène Némirovsky, un des grands auteurs de l'entre-deux guerres, sort aujourd'hui de l'ombre. À partir d'entretiens, d'analyses et de correspondances inédites, cette biographie passionnante retrace un destin et une oeuvre uniques, sous l'angle de la relation complexe entre l'écrivain et son identité culturelle. Fille de riches banquiers, Irène Némirovsky, qui a quitté Kiev pour Paris au lendemain de la Révolution bolchevique, connaît à 26 ans une gloire fulgurante avec son roman David Golder. Cette dénonciation parfois caricaturale du milieu juif des affaires lui vaut de nombreuses amitiés dans la droite antisémite sans pour autant lui permettre de s'intégrer à la bourgeoisie parisienne. Elle reste " l'amie juive ", car elle brocarde cruellement sa propre communauté. Mais, confrontée à la montée de l'antisémitisme, elle récuse un discours auquel elle avait pu paraître s'associer. Après s'être vu refuser la nationalité française, elle est déportée à Auschwitz où elle meurt en 1942.
Couronnée à titre posthume par le prix Renaudot 2004 pour Suite française, Irène Némirovsky, un des grands auteurs de l'entre-deux guerres, sort aujourd'hui de l'ombre. À partir d'entretiens, d'analyses et de correspondances inédites, cette biographie passionnante retrace un destin et une oeuvre uniques, sous l'angle de la relation complexe entre l'écrivain et son identité culturelle. Fille de riches banquiers, Irène Némirovsky, qui a quitté Kiev pour Paris au lendemain de la Révolution bolchevique, connaît à 26 ans une gloire fulgurante avec son roman David Golder. Cette dénonciation parfois caricaturale du milieu juif des affaires lui vaut de nombreuses amitiés dans la droite antisémite sans pour autant lui permettre de s'intégrer à la bourgeoisie parisienne. Elle reste " l'amie juive ", car elle brocarde cruellement sa propre communauté. Mais, confrontée à la montée de l'antisémitisme, elle récuse un discours auquel elle avait pu paraître s'associer. Après s'être vu refuser la nationalité française, elle est déportée à Auschwitz où elle meurt en 1942.