Instruments A Cordes Et Musiciens Dans L'Empire Romain. Etude Historique Et Archeologique (Iieme Siecle Av Jc-Veme Siecle Ap Jc)
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- Nombre de pages418
- PrésentationBroché
- Poids0.59 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,8 cm
- ISBN2-7384-7925-1
- EAN9782738479259
- Date de parution28/09/1999
- Collectionhistoire ancienne et anthropo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cet essai d'histoire et d'archéologie musicale s'appuie sur des sources variées (textuelles, iconographiques et archéologiques) et une documentation en partie inédite. Il permet de définir les caractéristiques organologiques des différents instruments à cordes (lyre, cithara, harpe, luth, monocorde et autres cordophones hybrides), de comprendre leur technique de jeu et de présenter le vocabulaire gréco-latin instrumental et musical en usage depuis la fin de la République jusqu'à l'Antiquité tardive.
L'auteur aborde ensuite les conditions d'introduction de ces instruments à Rome et les raisons de leur inégal succès. Il nous invite à découvrir à la fois les domaines d'utilisation de ces instruments (religions, théâtre, concours...), leur répertoire et les principaux acteurs de cette musique (professionnels et amateurs), afin de mesurer la place exacte qu'elle occupait dans la société romaine. Ainsi se dévoile un pan entier de la culture musicale des Romains et en particulier leur goût pour la discipline reine sous le Haut Empire : la citharédie (ou chant accompagné à la cithare).
"Ce qui enchante dans ce livre, c'est qu'il prouve qu'on ne peut faire oeuvre d'historien de la musique sans faire oeuvre d'historien tout court. Les musicologues découvriront un monde d'une richesse qu'ils ne soupçonnaient pas, les "antiquisants" apprécieront eux aussi ce regard historique porté sur la civilisation musicale et l'univers culturel de la Rome impériale." A. Bélis.
L'auteur aborde ensuite les conditions d'introduction de ces instruments à Rome et les raisons de leur inégal succès. Il nous invite à découvrir à la fois les domaines d'utilisation de ces instruments (religions, théâtre, concours...), leur répertoire et les principaux acteurs de cette musique (professionnels et amateurs), afin de mesurer la place exacte qu'elle occupait dans la société romaine. Ainsi se dévoile un pan entier de la culture musicale des Romains et en particulier leur goût pour la discipline reine sous le Haut Empire : la citharédie (ou chant accompagné à la cithare).
"Ce qui enchante dans ce livre, c'est qu'il prouve qu'on ne peut faire oeuvre d'historien de la musique sans faire oeuvre d'historien tout court. Les musicologues découvriront un monde d'une richesse qu'ils ne soupçonnaient pas, les "antiquisants" apprécieront eux aussi ce regard historique porté sur la civilisation musicale et l'univers culturel de la Rome impériale." A. Bélis.
Cet essai d'histoire et d'archéologie musicale s'appuie sur des sources variées (textuelles, iconographiques et archéologiques) et une documentation en partie inédite. Il permet de définir les caractéristiques organologiques des différents instruments à cordes (lyre, cithara, harpe, luth, monocorde et autres cordophones hybrides), de comprendre leur technique de jeu et de présenter le vocabulaire gréco-latin instrumental et musical en usage depuis la fin de la République jusqu'à l'Antiquité tardive.
L'auteur aborde ensuite les conditions d'introduction de ces instruments à Rome et les raisons de leur inégal succès. Il nous invite à découvrir à la fois les domaines d'utilisation de ces instruments (religions, théâtre, concours...), leur répertoire et les principaux acteurs de cette musique (professionnels et amateurs), afin de mesurer la place exacte qu'elle occupait dans la société romaine. Ainsi se dévoile un pan entier de la culture musicale des Romains et en particulier leur goût pour la discipline reine sous le Haut Empire : la citharédie (ou chant accompagné à la cithare).
"Ce qui enchante dans ce livre, c'est qu'il prouve qu'on ne peut faire oeuvre d'historien de la musique sans faire oeuvre d'historien tout court. Les musicologues découvriront un monde d'une richesse qu'ils ne soupçonnaient pas, les "antiquisants" apprécieront eux aussi ce regard historique porté sur la civilisation musicale et l'univers culturel de la Rome impériale." A. Bélis.
L'auteur aborde ensuite les conditions d'introduction de ces instruments à Rome et les raisons de leur inégal succès. Il nous invite à découvrir à la fois les domaines d'utilisation de ces instruments (religions, théâtre, concours...), leur répertoire et les principaux acteurs de cette musique (professionnels et amateurs), afin de mesurer la place exacte qu'elle occupait dans la société romaine. Ainsi se dévoile un pan entier de la culture musicale des Romains et en particulier leur goût pour la discipline reine sous le Haut Empire : la citharédie (ou chant accompagné à la cithare).
"Ce qui enchante dans ce livre, c'est qu'il prouve qu'on ne peut faire oeuvre d'historien de la musique sans faire oeuvre d'historien tout court. Les musicologues découvriront un monde d'une richesse qu'ils ne soupçonnaient pas, les "antiquisants" apprécieront eux aussi ce regard historique porté sur la civilisation musicale et l'univers culturel de la Rome impériale." A. Bélis.