Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Schelling a présenté lui-même son projet de philosophie de la nature - dont il y eut plusieurs réalisations au cours de sa carrière - dans son Système...
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Résumé
Schelling a présenté lui-même son projet de philosophie de la nature - dont il y eut plusieurs réalisations au cours de sa carrière - dans son Système de l'idéalisme transcendantal de 1800 : " toute autre science présuppose une intelligence déjà achevée, alors que le philosophe l'envisage en son devenir, et la fait en quelque sorte naître devant ses yeux ". Dans les Idées pour une philosophie de la nature de 1797, Schelling cherche déjà à élucider l'origine de toutes choses, dont celle de la philosophie et de la nature elle-même, ainsi que le problème du rapport de l'esprit à ses représentations. Il cherche à apporter une solution au conflit du mécanisme et de la finalité. Le mécanisme ne peut être écarté : il règne dans les rapports entre causes et effets ; mais la finalité triomphe dans l'organisme, où la causalité est réciproque. Schelling tient compte des découvertes scientifiques de son temps pour les faire entrer dans un système du savoir qui soit aussi un savoir pour la conscience. Sa philosophie, qui succède à celles de Kant et de Fichte, est une philosophie de la liberté, et de l'autonomie de la nature à partir de laquelle doit se manifester l'esprit : " la nature doit être l'esprit visible, et l'esprit la nature invisible ".