L'art du Comprendre N° 19, Juillet 2010
L'identité problématique et ses formes culturelles. Autrui et soi en question
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- Poids0.34 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-9519820-7-9
- EAN9782951982079
- Date de parution01/07/2010
- ÉditeurArt du comprendre (L')
Résumé
Le thème de l'identité occupe une place nouvelle dans l'actualité sociale et politique. En effet, à l'heure de la globalisation et du mondialisme, il semblerait que les identités collectives tendent soit à s'aplanir ou à se recomposer, soit à se rétracter ou se durcir autour de signes sommaires. Les uns voient dans cette évolution la promesse d'une plus haute forme d'humanité; les autres, la fin dangereuse de figures spirituelles, tutélaires et rassurantes.
Fréquemment utilisée dans les sciences humaines, cette notion d'identité n'a cependant pas fait florès en philosophie. Celle-ci tient à distance un mot dont le sens, se prêtant vite au parti pris, doit être problématisé. Le penser philosophique a ici son mot à dire sur un sujet où l'actualité journalistique et les facilités idéologiques veulent le disputer à l'analyse rigoureuse du concept. Etre soi-même autant que reconnaître l'autre dans sa différence: cette injonction de " la belle âme" ne s'incarne pas si aisément dans le réel.
Dès lors, il importe de s'interroger sur ce que signifie ce terme d'identité, qu'il se trouve appliqué à un sujet individuel ou a un sujet collectif. Partant, les rapports entre soi et autrui pourront apparaître dans leurs processus constitutifs. Ce nouveau numéro de L'Art du Comprendre s'attache donc à cerner les enjeux ontologiques, épistémologiques, moraux et politiques, que recouvre le thème de l'identité.
L'ouvrage poursuit ce questionnement à la lueur de penseurs, classiques et contemporains, qui se sont donné pour tâche de comprendre la situation humaine. Il s'agit bien d'ouvrir un parcours propre à l'anthropologie philosophique sans exclure la tradition critique.
Fréquemment utilisée dans les sciences humaines, cette notion d'identité n'a cependant pas fait florès en philosophie. Celle-ci tient à distance un mot dont le sens, se prêtant vite au parti pris, doit être problématisé. Le penser philosophique a ici son mot à dire sur un sujet où l'actualité journalistique et les facilités idéologiques veulent le disputer à l'analyse rigoureuse du concept. Etre soi-même autant que reconnaître l'autre dans sa différence: cette injonction de " la belle âme" ne s'incarne pas si aisément dans le réel.
Dès lors, il importe de s'interroger sur ce que signifie ce terme d'identité, qu'il se trouve appliqué à un sujet individuel ou a un sujet collectif. Partant, les rapports entre soi et autrui pourront apparaître dans leurs processus constitutifs. Ce nouveau numéro de L'Art du Comprendre s'attache donc à cerner les enjeux ontologiques, épistémologiques, moraux et politiques, que recouvre le thème de l'identité.
L'ouvrage poursuit ce questionnement à la lueur de penseurs, classiques et contemporains, qui se sont donné pour tâche de comprendre la situation humaine. Il s'agit bien d'ouvrir un parcours propre à l'anthropologie philosophique sans exclure la tradition critique.
Le thème de l'identité occupe une place nouvelle dans l'actualité sociale et politique. En effet, à l'heure de la globalisation et du mondialisme, il semblerait que les identités collectives tendent soit à s'aplanir ou à se recomposer, soit à se rétracter ou se durcir autour de signes sommaires. Les uns voient dans cette évolution la promesse d'une plus haute forme d'humanité; les autres, la fin dangereuse de figures spirituelles, tutélaires et rassurantes.
Fréquemment utilisée dans les sciences humaines, cette notion d'identité n'a cependant pas fait florès en philosophie. Celle-ci tient à distance un mot dont le sens, se prêtant vite au parti pris, doit être problématisé. Le penser philosophique a ici son mot à dire sur un sujet où l'actualité journalistique et les facilités idéologiques veulent le disputer à l'analyse rigoureuse du concept. Etre soi-même autant que reconnaître l'autre dans sa différence: cette injonction de " la belle âme" ne s'incarne pas si aisément dans le réel.
Dès lors, il importe de s'interroger sur ce que signifie ce terme d'identité, qu'il se trouve appliqué à un sujet individuel ou a un sujet collectif. Partant, les rapports entre soi et autrui pourront apparaître dans leurs processus constitutifs. Ce nouveau numéro de L'Art du Comprendre s'attache donc à cerner les enjeux ontologiques, épistémologiques, moraux et politiques, que recouvre le thème de l'identité.
L'ouvrage poursuit ce questionnement à la lueur de penseurs, classiques et contemporains, qui se sont donné pour tâche de comprendre la situation humaine. Il s'agit bien d'ouvrir un parcours propre à l'anthropologie philosophique sans exclure la tradition critique.
Fréquemment utilisée dans les sciences humaines, cette notion d'identité n'a cependant pas fait florès en philosophie. Celle-ci tient à distance un mot dont le sens, se prêtant vite au parti pris, doit être problématisé. Le penser philosophique a ici son mot à dire sur un sujet où l'actualité journalistique et les facilités idéologiques veulent le disputer à l'analyse rigoureuse du concept. Etre soi-même autant que reconnaître l'autre dans sa différence: cette injonction de " la belle âme" ne s'incarne pas si aisément dans le réel.
Dès lors, il importe de s'interroger sur ce que signifie ce terme d'identité, qu'il se trouve appliqué à un sujet individuel ou a un sujet collectif. Partant, les rapports entre soi et autrui pourront apparaître dans leurs processus constitutifs. Ce nouveau numéro de L'Art du Comprendre s'attache donc à cerner les enjeux ontologiques, épistémologiques, moraux et politiques, que recouvre le thème de l'identité.
L'ouvrage poursuit ce questionnement à la lueur de penseurs, classiques et contemporains, qui se sont donné pour tâche de comprendre la situation humaine. Il s'agit bien d'ouvrir un parcours propre à l'anthropologie philosophique sans exclure la tradition critique.