Hyperréalisme. Quand l'art dépasse la réalité

Par : Céline Delavaux

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  • Nombre de pages30
  • PrésentationRelié
  • Poids0.535 kg
  • Dimensions25,0 cm × 29,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-35832-053-5
  • EAN9782358320535
  • Date de parution25/08/2010
  • CollectionL'art & la manière
  • ÉditeurPalette (éditions)

Résumé

Dans les années 1960, aux Etats-Unis, des artistes comme Richard Estes, Don Eddy ou Richard McLean se sont mis à peindre des tableaux qui, au premier regard, ressemblent à s'y méprendre à de gigantesques photographies. Ils puisent leurs sujets dans la banalité de la vie américaine : rues de New York, vitrines de magasins, voitures... Des sculpteurs, comme Duane Hanson, réalisent quant à eux des personnages plus vrais que nature.
Ces oeuvres ont été qualifiées d'hyperréalistes, car elles copient le réel avec une telle perfection que le spectateur, pris au piège de l'illusion, ressent devant elles un sentiment d'étrangeté. En jouant avec nos perceptions, l'hyperréalisme nous rappelle que nous prenons souvent les images de la réalité pour la réalité elle-même...
Dans les années 1960, aux Etats-Unis, des artistes comme Richard Estes, Don Eddy ou Richard McLean se sont mis à peindre des tableaux qui, au premier regard, ressemblent à s'y méprendre à de gigantesques photographies. Ils puisent leurs sujets dans la banalité de la vie américaine : rues de New York, vitrines de magasins, voitures... Des sculpteurs, comme Duane Hanson, réalisent quant à eux des personnages plus vrais que nature.
Ces oeuvres ont été qualifiées d'hyperréalistes, car elles copient le réel avec une telle perfection que le spectateur, pris au piège de l'illusion, ressent devant elles un sentiment d'étrangeté. En jouant avec nos perceptions, l'hyperréalisme nous rappelle que nous prenons souvent les images de la réalité pour la réalité elle-même...
Céline Delavaux a rédigé une thèse de doctorat sur Dubuffet et l'art brut, les enjeux d'un discours.
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