Hokusaï aux doigts d'encre
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages185
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.215 kg
- Dimensions12,5 cm × 20,5 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-86959-931-4
- EAN9782869599314
- Date de parution03/02/2011
- ÉditeurArléa
Résumé
J'aimais les qualités du noir, du plus pur, du plus épais au plus transparent dont il ne reste qu'un trait délavé, car l'encre n'est pas indifférente et, parfois, elle n'est là que pour faire apparaître le blanc sur la page, comme le silence dans un horizon de neige. Le fantôme d'Hokusaï (peintre japonais, 1760 - 1849) est venu hanter Bruno Smolarz, qui a écrit sous la dictée, et donc à la première personne, cette vie fascinante d'un homme qui ne vécut que pour dessiner.
Au fil du pinceau, il revit son passé, mêlant à ses souvenirs des réflexions sur l'art, le paysage, les cent vues du mont Fuji, le nu, l'impermanence, et son impossible quête d'une perfection qui n'est pas de ce monde. Sa mémoire, parfois fidèle, est par moment aussi riche en inventions que son imagination d'artiste. Plus il raconte, plus la mort se tient à distance... Peut-être même finira-t-elle par l'oublier ?
Au fil du pinceau, il revit son passé, mêlant à ses souvenirs des réflexions sur l'art, le paysage, les cent vues du mont Fuji, le nu, l'impermanence, et son impossible quête d'une perfection qui n'est pas de ce monde. Sa mémoire, parfois fidèle, est par moment aussi riche en inventions que son imagination d'artiste. Plus il raconte, plus la mort se tient à distance... Peut-être même finira-t-elle par l'oublier ?
J'aimais les qualités du noir, du plus pur, du plus épais au plus transparent dont il ne reste qu'un trait délavé, car l'encre n'est pas indifférente et, parfois, elle n'est là que pour faire apparaître le blanc sur la page, comme le silence dans un horizon de neige. Le fantôme d'Hokusaï (peintre japonais, 1760 - 1849) est venu hanter Bruno Smolarz, qui a écrit sous la dictée, et donc à la première personne, cette vie fascinante d'un homme qui ne vécut que pour dessiner.
Au fil du pinceau, il revit son passé, mêlant à ses souvenirs des réflexions sur l'art, le paysage, les cent vues du mont Fuji, le nu, l'impermanence, et son impossible quête d'une perfection qui n'est pas de ce monde. Sa mémoire, parfois fidèle, est par moment aussi riche en inventions que son imagination d'artiste. Plus il raconte, plus la mort se tient à distance... Peut-être même finira-t-elle par l'oublier ?
Au fil du pinceau, il revit son passé, mêlant à ses souvenirs des réflexions sur l'art, le paysage, les cent vues du mont Fuji, le nu, l'impermanence, et son impossible quête d'une perfection qui n'est pas de ce monde. Sa mémoire, parfois fidèle, est par moment aussi riche en inventions que son imagination d'artiste. Plus il raconte, plus la mort se tient à distance... Peut-être même finira-t-elle par l'oublier ?