Hokusaï aux doigts d'encre

Par : Bruno Smolarz
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  • Nombre de pages177
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-36308-035-6
  • EAN9782363080356
  • Date de parution10/10/2013
  • CollectionArléa-Poche
  • ÉditeurArléa

Résumé

On sait par d’innombrables contes et légendes, comme par les textes de la littérature classique japonaise, que le Japon est un pays habité de fantômes. Le fantôme d’Hokusaï (peintre japonais, 1760-1849) est venu, pour ce texte, hanter Bruno Smolarz, qui a écrit, sous sa dictée, et donc à la première personne, cette vie peu commune d’un homme "fou de dessin". C’est âgé de quatre-vingt-dix ans qu’Hokusaï commença seulement à saisir l’essence du monde.
Au fil du pinceau, il revit son passé, mêlant à ses souvenirs des réflexions sur l’art (l’importance de la nature et des voyages, la négligence du nu, le charme d’une courbe, la découverte du bleu et de la perspective en Occident). Sur son époque (sa famille, ses pairs et ses rivaux, les gouvernements et les famines), sa mémoire est parfois fidèle, par moment aussi riche en invention que son imagination d’artiste.
Plus il raconte, plus la mort se tient à distance, peut-être même finira-elle par l’oublier, lui permettant de continuer à peindre jusqu’à ce qu’il atteigne la perfection. C’est du moins ce qu’il espère…
On sait par d’innombrables contes et légendes, comme par les textes de la littérature classique japonaise, que le Japon est un pays habité de fantômes. Le fantôme d’Hokusaï (peintre japonais, 1760-1849) est venu, pour ce texte, hanter Bruno Smolarz, qui a écrit, sous sa dictée, et donc à la première personne, cette vie peu commune d’un homme "fou de dessin". C’est âgé de quatre-vingt-dix ans qu’Hokusaï commença seulement à saisir l’essence du monde.
Au fil du pinceau, il revit son passé, mêlant à ses souvenirs des réflexions sur l’art (l’importance de la nature et des voyages, la négligence du nu, le charme d’une courbe, la découverte du bleu et de la perspective en Occident). Sur son époque (sa famille, ses pairs et ses rivaux, les gouvernements et les famines), sa mémoire est parfois fidèle, par moment aussi riche en invention que son imagination d’artiste.
Plus il raconte, plus la mort se tient à distance, peut-être même finira-elle par l’oublier, lui permettant de continuer à peindre jusqu’à ce qu’il atteigne la perfection. C’est du moins ce qu’il espère…