Histoire des bacs et passages en bretagne - golfe du morbihan
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- PrésentationRelié
- Poids1.11 kg
- Dimensions19,3 cm × 26,0 cm × 2,5 cm
- ISBN979-10-353-2875-7
- EAN9791035328757
- Date de parution16/10/2025
- CollectionALBUMS HISTORIQUES LOCAUX hors
- ÉditeurGESTE
Résumé
Dans cette grande fresque historique, Pierre Martin, historien spécialiste d'histoire maritime et universitaire, s'est attachéà retracer l'épopée de ces bacs et passeurs d'estuaires de la fin du Moyen âge à nos jours. Les passages qui permettaient de franchir les fleuves ou les rades ont longtemps joué un rôle important dans l'économie bretonne. Une petite cale tombant en ruines, la carcasse d'une vieille barque dévorée par des coquillages, ou une "bicoque"à l'abandon appelée maison du passeur, sont les derniers témoins de cet âge d'or des passages d'estuaires en Bretagne.
Longtemps possessions royales et seigneuriales, ils ont survécu aux fureurs de la Révolution française. Reconnus d'intérêt public au début du XIXe siècle, les plus importants d'entre eux se modernisèrent à toute vapeur. Mais bientôt, leur avenir fut menacé par la construction des ponts et l'avènement de l'automobile. Ils retrouvent aujourd'hui un certain attrait, notamment dans les villes.
Longtemps possessions royales et seigneuriales, ils ont survécu aux fureurs de la Révolution française. Reconnus d'intérêt public au début du XIXe siècle, les plus importants d'entre eux se modernisèrent à toute vapeur. Mais bientôt, leur avenir fut menacé par la construction des ponts et l'avènement de l'automobile. Ils retrouvent aujourd'hui un certain attrait, notamment dans les villes.
Dans cette grande fresque historique, Pierre Martin, historien spécialiste d'histoire maritime et universitaire, s'est attachéà retracer l'épopée de ces bacs et passeurs d'estuaires de la fin du Moyen âge à nos jours. Les passages qui permettaient de franchir les fleuves ou les rades ont longtemps joué un rôle important dans l'économie bretonne. Une petite cale tombant en ruines, la carcasse d'une vieille barque dévorée par des coquillages, ou une "bicoque"à l'abandon appelée maison du passeur, sont les derniers témoins de cet âge d'or des passages d'estuaires en Bretagne.
Longtemps possessions royales et seigneuriales, ils ont survécu aux fureurs de la Révolution française. Reconnus d'intérêt public au début du XIXe siècle, les plus importants d'entre eux se modernisèrent à toute vapeur. Mais bientôt, leur avenir fut menacé par la construction des ponts et l'avènement de l'automobile. Ils retrouvent aujourd'hui un certain attrait, notamment dans les villes.
Longtemps possessions royales et seigneuriales, ils ont survécu aux fureurs de la Révolution française. Reconnus d'intérêt public au début du XIXe siècle, les plus importants d'entre eux se modernisèrent à toute vapeur. Mais bientôt, leur avenir fut menacé par la construction des ponts et l'avènement de l'automobile. Ils retrouvent aujourd'hui un certain attrait, notamment dans les villes.