Prix Nobel de Littérature
Heureux ceux qui sèment et ne récoltent pas
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- Nombre de pages158
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.242 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-931137-07-9
- EAN9782931137079
- Date de parution07/11/2023
- CollectionLes Mots Vivants
- ÉditeurAccro Editions
- TraducteurWalter Weideli
- TraducteurDan Drai
- PréfacierMarco Filoni
Résumé
Imaginez un homme, un poète, qui au cours de sa vie ne publie que onze poèmes. Rien que onze poèmes, en hébreu - une langue qui renaît après des millénaires d'oubli. Contre toute attente, son auteur se voit aussitôt reconnu par ses pairs comme l'un des poètes les plus doués et audacieux en ce début de XXe siècle. Abraham Sonne, ou Abraham Ben-Yitzhak sous son nom de plume, incarne alors l'espoir de l'ancienne langue ressuscitée.
Mais cet espoir ne se concrétisera que partiellement, car Ben-Yitzhak cesse complètement de publier pendant douze longues années. Puis, en 1928, il réapparaît avec un dernier poème, intitulé "Heureux ceux qui sèment et ne récoltent pas" . Alors Ben-Yitzhak cède la place au "Dr. Sonne" . Le premier rejoint l'Olympe des lettres, le second fréquente, tous les jours à la même table, le Café Museum de Vienne.
"Avec son regard d'ascète et son visage émacié, cet homme réservé mais doté d'un charisme singulier, qui avait écrit peu et à contrecoeur, impressionnait - par son érudition, son intelligence, et surtout par ses silences épiques - des intellectuels tels que Hermann Broch, Elias Canetti, James Joyce, Soma Morgenstern, Arthur Schnitzler, Robert Musil, Hugo von Hofmannsthal, le musicien Arnold Schönberg, le peintre Georg Merkel.
Mais cet espoir ne se concrétisera que partiellement, car Ben-Yitzhak cesse complètement de publier pendant douze longues années. Puis, en 1928, il réapparaît avec un dernier poème, intitulé "Heureux ceux qui sèment et ne récoltent pas" . Alors Ben-Yitzhak cède la place au "Dr. Sonne" . Le premier rejoint l'Olympe des lettres, le second fréquente, tous les jours à la même table, le Café Museum de Vienne.
"Avec son regard d'ascète et son visage émacié, cet homme réservé mais doté d'un charisme singulier, qui avait écrit peu et à contrecoeur, impressionnait - par son érudition, son intelligence, et surtout par ses silences épiques - des intellectuels tels que Hermann Broch, Elias Canetti, James Joyce, Soma Morgenstern, Arthur Schnitzler, Robert Musil, Hugo von Hofmannsthal, le musicien Arnold Schönberg, le peintre Georg Merkel.
Imaginez un homme, un poète, qui au cours de sa vie ne publie que onze poèmes. Rien que onze poèmes, en hébreu - une langue qui renaît après des millénaires d'oubli. Contre toute attente, son auteur se voit aussitôt reconnu par ses pairs comme l'un des poètes les plus doués et audacieux en ce début de XXe siècle. Abraham Sonne, ou Abraham Ben-Yitzhak sous son nom de plume, incarne alors l'espoir de l'ancienne langue ressuscitée.
Mais cet espoir ne se concrétisera que partiellement, car Ben-Yitzhak cesse complètement de publier pendant douze longues années. Puis, en 1928, il réapparaît avec un dernier poème, intitulé "Heureux ceux qui sèment et ne récoltent pas" . Alors Ben-Yitzhak cède la place au "Dr. Sonne" . Le premier rejoint l'Olympe des lettres, le second fréquente, tous les jours à la même table, le Café Museum de Vienne.
"Avec son regard d'ascète et son visage émacié, cet homme réservé mais doté d'un charisme singulier, qui avait écrit peu et à contrecoeur, impressionnait - par son érudition, son intelligence, et surtout par ses silences épiques - des intellectuels tels que Hermann Broch, Elias Canetti, James Joyce, Soma Morgenstern, Arthur Schnitzler, Robert Musil, Hugo von Hofmannsthal, le musicien Arnold Schönberg, le peintre Georg Merkel.
Mais cet espoir ne se concrétisera que partiellement, car Ben-Yitzhak cesse complètement de publier pendant douze longues années. Puis, en 1928, il réapparaît avec un dernier poème, intitulé "Heureux ceux qui sèment et ne récoltent pas" . Alors Ben-Yitzhak cède la place au "Dr. Sonne" . Le premier rejoint l'Olympe des lettres, le second fréquente, tous les jours à la même table, le Café Museum de Vienne.
"Avec son regard d'ascète et son visage émacié, cet homme réservé mais doté d'un charisme singulier, qui avait écrit peu et à contrecoeur, impressionnait - par son érudition, son intelligence, et surtout par ses silences épiques - des intellectuels tels que Hermann Broch, Elias Canetti, James Joyce, Soma Morgenstern, Arthur Schnitzler, Robert Musil, Hugo von Hofmannsthal, le musicien Arnold Schönberg, le peintre Georg Merkel.