Harmonies volées. Printemps 1945 : Le retour des pianos pillés par les nazis
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- Nombre de pages172
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.23 kg
- Dimensions14,2 cm × 21,6 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-8098-5227-1
- EAN9782809852271
- Date de parution15/05/2025
- ÉditeurArchipel (L')
- PréfacierJean-François Zygel
Résumé
Avril 1945 : les pianos spoliés des familles juives françaises reviennent d'Allemagne avant les premiers survivants des camps d'extermination. Leurs propriétaires sont Blum, Jankélévitch... Pour ce récit, Caroline Piketty s'est appuyée sur des sources rares : dossiers de réclamation et de restitution des pianos, fonds du Commissariat général du Service des restitutions... Comment Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille et tant d'autres ont récupéré (ou non) leur piano après la guerre.
Préfacé par Jean-François Zygel Début avril 1945, les milliers de pianos volés aux familles juives reviennent d'Allemagne et des territoires occupés par les nazis, avant même que les premiers survivants soient rentrés des camps d'extermination. D'abord entassés au Palmarium du Jardin d'acclimatation, certains instruments parviennent à regagner leur foyer, alors que plusieurs membres de la famille n'auront jamais cette chance.
Au fil d'une enquête au long cours, s'entrouvrent dans ces pages les appartements pillés dès septembre 1940, surtout à Paris. Caroline Piketty retrace le parcours des pianos, de leurs propriétaires et parfois de leurs délateurs. Ils s'appellent Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille Berl, Gaston Calmann-Lévy, Aron Lustiger, Béatrice de Camondo, Vidal Modiano. Mais aussi, bien plus nombreux, les anonymes naufragés de la Shoah suspendus à l'espoir de récupérer leur instrument, précieux vestige des temps heureux et de l'harmonie familiale.
Pour raconter cette histoire oubliée, Caroline Piketty s'est fondée sur les dossiers de réclamation et de restitution des pianos. Elle a puisé aux sources conservées aux Archives nationales, notamment les six mille cartons du fonds du Commissariat général aux questions juives et du Service des restitutions. Un travail de mémoire aussi minutieux que bouleversant. Un ouvrage soutenu par la Fondation pour la mémoire de la Shoah et de l'association " Musique et spoliations ".
Préfacé par Jean-François Zygel Début avril 1945, les milliers de pianos volés aux familles juives reviennent d'Allemagne et des territoires occupés par les nazis, avant même que les premiers survivants soient rentrés des camps d'extermination. D'abord entassés au Palmarium du Jardin d'acclimatation, certains instruments parviennent à regagner leur foyer, alors que plusieurs membres de la famille n'auront jamais cette chance.
Au fil d'une enquête au long cours, s'entrouvrent dans ces pages les appartements pillés dès septembre 1940, surtout à Paris. Caroline Piketty retrace le parcours des pianos, de leurs propriétaires et parfois de leurs délateurs. Ils s'appellent Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille Berl, Gaston Calmann-Lévy, Aron Lustiger, Béatrice de Camondo, Vidal Modiano. Mais aussi, bien plus nombreux, les anonymes naufragés de la Shoah suspendus à l'espoir de récupérer leur instrument, précieux vestige des temps heureux et de l'harmonie familiale.
Pour raconter cette histoire oubliée, Caroline Piketty s'est fondée sur les dossiers de réclamation et de restitution des pianos. Elle a puisé aux sources conservées aux Archives nationales, notamment les six mille cartons du fonds du Commissariat général aux questions juives et du Service des restitutions. Un travail de mémoire aussi minutieux que bouleversant. Un ouvrage soutenu par la Fondation pour la mémoire de la Shoah et de l'association " Musique et spoliations ".
Avril 1945 : les pianos spoliés des familles juives françaises reviennent d'Allemagne avant les premiers survivants des camps d'extermination. Leurs propriétaires sont Blum, Jankélévitch... Pour ce récit, Caroline Piketty s'est appuyée sur des sources rares : dossiers de réclamation et de restitution des pianos, fonds du Commissariat général du Service des restitutions... Comment Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille et tant d'autres ont récupéré (ou non) leur piano après la guerre.
Préfacé par Jean-François Zygel Début avril 1945, les milliers de pianos volés aux familles juives reviennent d'Allemagne et des territoires occupés par les nazis, avant même que les premiers survivants soient rentrés des camps d'extermination. D'abord entassés au Palmarium du Jardin d'acclimatation, certains instruments parviennent à regagner leur foyer, alors que plusieurs membres de la famille n'auront jamais cette chance.
Au fil d'une enquête au long cours, s'entrouvrent dans ces pages les appartements pillés dès septembre 1940, surtout à Paris. Caroline Piketty retrace le parcours des pianos, de leurs propriétaires et parfois de leurs délateurs. Ils s'appellent Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille Berl, Gaston Calmann-Lévy, Aron Lustiger, Béatrice de Camondo, Vidal Modiano. Mais aussi, bien plus nombreux, les anonymes naufragés de la Shoah suspendus à l'espoir de récupérer leur instrument, précieux vestige des temps heureux et de l'harmonie familiale.
Pour raconter cette histoire oubliée, Caroline Piketty s'est fondée sur les dossiers de réclamation et de restitution des pianos. Elle a puisé aux sources conservées aux Archives nationales, notamment les six mille cartons du fonds du Commissariat général aux questions juives et du Service des restitutions. Un travail de mémoire aussi minutieux que bouleversant. Un ouvrage soutenu par la Fondation pour la mémoire de la Shoah et de l'association " Musique et spoliations ".
Préfacé par Jean-François Zygel Début avril 1945, les milliers de pianos volés aux familles juives reviennent d'Allemagne et des territoires occupés par les nazis, avant même que les premiers survivants soient rentrés des camps d'extermination. D'abord entassés au Palmarium du Jardin d'acclimatation, certains instruments parviennent à regagner leur foyer, alors que plusieurs membres de la famille n'auront jamais cette chance.
Au fil d'une enquête au long cours, s'entrouvrent dans ces pages les appartements pillés dès septembre 1940, surtout à Paris. Caroline Piketty retrace le parcours des pianos, de leurs propriétaires et parfois de leurs délateurs. Ils s'appellent Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille Berl, Gaston Calmann-Lévy, Aron Lustiger, Béatrice de Camondo, Vidal Modiano. Mais aussi, bien plus nombreux, les anonymes naufragés de la Shoah suspendus à l'espoir de récupérer leur instrument, précieux vestige des temps heureux et de l'harmonie familiale.
Pour raconter cette histoire oubliée, Caroline Piketty s'est fondée sur les dossiers de réclamation et de restitution des pianos. Elle a puisé aux sources conservées aux Archives nationales, notamment les six mille cartons du fonds du Commissariat général aux questions juives et du Service des restitutions. Un travail de mémoire aussi minutieux que bouleversant. Un ouvrage soutenu par la Fondation pour la mémoire de la Shoah et de l'association " Musique et spoliations ".