Harmonies volées. Printemps 1945 : Le retour des pianos pillés par les nazis

Par : Caroline Piketty
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages140
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8098-5228-8
  • EAN9782809852288
  • Date de parution15/05/2025
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille7 Mo
  • ÉditeurL'Archipel
  • PréfacierJean-François Zygel

Résumé

Avril 1945 : les pianos spoliés des familles juives françaises reviennent d'Allemagne avant les premiers survivants des camps d'extermination. Leurs propriétaires sont Blum, Jankélévitch... Pour ce récit, Caroline Piketty s'est appuyée sur des sources rares : dossiers de réclamation et de restitution des pianos, fonds du Commissariat général du Service des restitutions... Comment Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille et tant d'autres ont récupéré (ou non) leur piano après la guerre. Préfacé par Jean-François Zygel Au début du mois d'avril 1945, les pianos spoliés dans les appartements des familles juives reviennent d'Allemagne et des territoires occupés par les nazis.
Certains instruments regagnent leur foyer domestique alors que plusieurs membres de la famille ne reviendront jamais. D'autres ne seront jamais réclamés car toute la famille a disparu à Auschwitz. Caroline Piketty tresse les fils de milliers d'appartements pillés dès septembre 1940, principalement à Paris. Elle dessine le parcours des pianos et de leurs propriétaires, qui s'appellent Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille, Gaston Calmann-Lévy, Aaron Lustiger, Béatrice de Camondo, entre autres.
Ce tableau est celui de familles bouleversées par la Shoah, mais parfois réconfortées en récupérant leur instrument. Si la vie reprend, elle ne sera plus jamais comme avant, et ces pianos revenus d'Allemagne seront de précieux vestiges des temps heureux. Pour raconter le retour d'objets ancrés dans la mémoire familiale, Caroline Piketty s'est fondée sur les dossiers de réclamation et de restitution des pianos.
Elle a puisé aux sources conservées aux Archives nationales, qui sont un gisement extraordinaire, notamment les fonds du Commissariat général aux questions juives et du Service des restitutions : six mille cartons d'archives entreposés sur près d'un kilomètre linéaire...
Avril 1945 : les pianos spoliés des familles juives françaises reviennent d'Allemagne avant les premiers survivants des camps d'extermination. Leurs propriétaires sont Blum, Jankélévitch... Pour ce récit, Caroline Piketty s'est appuyée sur des sources rares : dossiers de réclamation et de restitution des pianos, fonds du Commissariat général du Service des restitutions... Comment Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille et tant d'autres ont récupéré (ou non) leur piano après la guerre. Préfacé par Jean-François Zygel Au début du mois d'avril 1945, les pianos spoliés dans les appartements des familles juives reviennent d'Allemagne et des territoires occupés par les nazis.
Certains instruments regagnent leur foyer domestique alors que plusieurs membres de la famille ne reviendront jamais. D'autres ne seront jamais réclamés car toute la famille a disparu à Auschwitz. Caroline Piketty tresse les fils de milliers d'appartements pillés dès septembre 1940, principalement à Paris. Elle dessine le parcours des pianos et de leurs propriétaires, qui s'appellent Léon Blum, Vladimir Jankélévitch, Mireille, Gaston Calmann-Lévy, Aaron Lustiger, Béatrice de Camondo, entre autres.
Ce tableau est celui de familles bouleversées par la Shoah, mais parfois réconfortées en récupérant leur instrument. Si la vie reprend, elle ne sera plus jamais comme avant, et ces pianos revenus d'Allemagne seront de précieux vestiges des temps heureux. Pour raconter le retour d'objets ancrés dans la mémoire familiale, Caroline Piketty s'est fondée sur les dossiers de réclamation et de restitution des pianos.
Elle a puisé aux sources conservées aux Archives nationales, qui sont un gisement extraordinaire, notamment les fonds du Commissariat général aux questions juives et du Service des restitutions : six mille cartons d'archives entreposés sur près d'un kilomètre linéaire...