Gustave Lefrançais. Angevin, premier Président du Conseil exécutif de la Commune de Paris (1871)

Par : Dominique Sureau
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  • Nombre de pages215
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-84712-680-8
  • EAN9782847126808
  • Date de parution01/03/2021
  • CollectionDans les pas
  • ÉditeurPetit Pavé (Editions Le)

Résumé

"Gustave Lefrançais, pour beaucoup, comme moi-même, était un de ces inconnus de l'histoire sociale de notre pays. Parcourant ses mémoires, quelle ne fut ma surprise de constater que, comme moi, il était angevin de naissance et de prime enfance ; comme moi, il avait été enseignant... et surtout le premier Président de la Commission exécutive de la Commune de Paris en 1871... Cerise sur le monument de nia méconnaissance, c'est à lui, Lefrançais, qu'était dédiée cette chanson révolutionnaire, ciment des luttes sociales : l'Internationale.
Parcourant sa vie et son oeuvre, je me pris d'attachement pour ce militant tout de probité qui côtoya Joseph Déjacques, Michel Bakounine, Eugène Varlin ou encore Elisée Reclus. Les vaincus n'ont pas d'histoire, écrivait Benoît Mulon. Pour les 150 ans de la Commune de Paris, il est temps d'en octroyer une à Gustave Lefrançais. J'espère contribuer à combler ce vide par le présent ouvrage et éveiller votre curiosité, vous invitant à côtoyer les ouvrages de Gustave Lefrançais."
"Gustave Lefrançais, pour beaucoup, comme moi-même, était un de ces inconnus de l'histoire sociale de notre pays. Parcourant ses mémoires, quelle ne fut ma surprise de constater que, comme moi, il était angevin de naissance et de prime enfance ; comme moi, il avait été enseignant... et surtout le premier Président de la Commission exécutive de la Commune de Paris en 1871... Cerise sur le monument de nia méconnaissance, c'est à lui, Lefrançais, qu'était dédiée cette chanson révolutionnaire, ciment des luttes sociales : l'Internationale.
Parcourant sa vie et son oeuvre, je me pris d'attachement pour ce militant tout de probité qui côtoya Joseph Déjacques, Michel Bakounine, Eugène Varlin ou encore Elisée Reclus. Les vaincus n'ont pas d'histoire, écrivait Benoît Mulon. Pour les 150 ans de la Commune de Paris, il est temps d'en octroyer une à Gustave Lefrançais. J'espère contribuer à combler ce vide par le présent ouvrage et éveiller votre curiosité, vous invitant à côtoyer les ouvrages de Gustave Lefrançais."