Un écrivain serbe est dépêché en Mongolie pour y écrire un guide de voyage. Lui qui rêvait de s'extirper de sa morosité quotidienne, atterrit dans un pays perdu, lieu de tous les possibles - où, de temps à autre, on brûle encore des sorcières. Il échoue au bar de l'hôtel Gengis Khan à Oulan-Bator, où il voit défiler un évêque hollandais égaré dans un rêve, un officier russe devenu lama, un mort vivant au passé lubrique et même l'énigmatique Charlotte Rampling.
Que tout cela confine à la folie importe peu ; la vodka coule à flots, délie les langues et libère les pensées les plus délirantes de Basara. Flottant entre rêverie et ivresse, au coeur d'un univers jubilatoire où la seule certitude est qu'il n'y en a aucune, il se laisse emporter dans un tourbillon extravagant de dérision qui n'épargne rien, ni personne. " Basara aime rire de tout, surtout de lui-même.
Son univers déjanté est un exutoire à un monde trop sombre. [... ] Basara est un visionnaire, une grande gueule au verbiage brillant, un désespéré décomplexé, redoutable traqueur d'idioties et érudit malicieux. " Martine Laval, Télérama
Un écrivain serbe est dépêché en Mongolie pour y écrire un guide de voyage. Lui qui rêvait de s'extirper de sa morosité quotidienne, atterrit dans un pays perdu, lieu de tous les possibles - où, de temps à autre, on brûle encore des sorcières. Il échoue au bar de l'hôtel Gengis Khan à Oulan-Bator, où il voit défiler un évêque hollandais égaré dans un rêve, un officier russe devenu lama, un mort vivant au passé lubrique et même l'énigmatique Charlotte Rampling.
Que tout cela confine à la folie importe peu ; la vodka coule à flots, délie les langues et libère les pensées les plus délirantes de Basara. Flottant entre rêverie et ivresse, au coeur d'un univers jubilatoire où la seule certitude est qu'il n'y en a aucune, il se laisse emporter dans un tourbillon extravagant de dérision qui n'épargne rien, ni personne. " Basara aime rire de tout, surtout de lui-même.
Son univers déjanté est un exutoire à un monde trop sombre. [... ] Basara est un visionnaire, une grande gueule au verbiage brillant, un désespéré décomplexé, redoutable traqueur d'idioties et érudit malicieux. " Martine Laval, Télérama