Mélodie du temps qui passe, faire ressortir d’un lieu toute l’architecture d’une vie, ce qui nous traverse et nous façonne, ses géographies comme ses frontières les plus intimes. Ces va-et-vient gonflés d’impasses et de hasards.
Avec Dominique Fabre on traverse le hall des pas perdus de la gare Saint-Lazare traversé d’images et d’anonymes, de fantômes et de rencontres, d’un sentiment à la fois intime et universel qui glissent sur nos existences en transit.
C’est peut être là, tout le charme, la belle magie de ce texte ombré de souvenirs comme de silhouettes fuyantes, de sourires et de chagrins fugitifs, ourlée de petits rien mais qui dessine en creux les sillons d’un grand tout, qui déplie sa petite musique tout en pudeur, délicat des instants qu’il décrit, des reflets qu’il renvoi, des brumes qu’il caresse de sa douce mélancolie.
Mélodie du temps qui passe, faire ressortir d’un lieu toute l’architecture d’une vie, ce qui nous traverse et nous façonne, ses géographies comme ses frontières les plus intimes. Ces va-et-vient gonflés d’impasses et de hasards.
Avec Dominique Fabre on traverse le hall des pas perdus de la gare Saint-Lazare traversé d’images et d’anonymes, de fantômes et de rencontres, d’un sentiment à la fois intime et universel qui glissent sur nos existences en transit.
C’est peut être là, tout le charme, la belle magie de ce texte ombré de souvenirs comme de silhouettes fuyantes, de sourires et de chagrins fugitifs, ourlée de petits rien mais qui dessine en creux les sillons d’un grand tout, qui déplie sa petite musique tout en pudeur, délicat des instants qu’il décrit, des reflets qu’il renvoi, des brumes qu’il caresse de sa douce mélancolie.