Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Freud, nous le savons, était amateur d'art, mais il était surtout intéressé par l'art du Quattrocento ou de l'Antiquité, sur lequel il s'est appuyé...
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Résumé
Freud, nous le savons, était amateur d'art, mais il était surtout intéressé par l'art du Quattrocento ou de l'Antiquité, sur lequel il s'est appuyé pour construire ses théories soit en le prenant comme modèle (Œdipe roi ou Hamlet) soit en l'utilisant comme support clinique (Léonard de Vinci, Signorelli). Comment ne pas être étonné qu'il ait ignoré une bonne part des productions artistiques de son époque ? Pourtant ses contemporains, peintres, poètes, écrivains, architectes, musiciens, traitaient des mêmes impasses de la construction subjective, des mêmes expressions du désir, des mêmes questions fondamentalement humaines... Tous les auteurs réunis ici, psychanalystes, philosophes, historiens, éclairent, à leur manière, un pan de cette ignorance mutuelle entre Freud et la Vienne de son époque. Au-delà de la richesse de chacun des exposés, apparaît une lecture nouvelle et forte du rapport du sujet à son temps, et des impasses de la subjectivité dans le rapport à la culture, qui éclaire bien des avatars de notre modernité.
Sommaire
Le rapport de Freud a vienne par sa littérature, son théâtre et son opéra