François Dagognet ou l'apologie de l'art contemporain

Par : Dominique Bernard Faivre

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  • Nombre de pages187
  • PrésentationBroché
  • Poids0.245 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-343-02711-1
  • EAN9782343027111
  • Date de parution01/05/2014
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierFrançois Dagognet

Résumé

L'art contemporain, comme notion esthétique, a connu à ses débuts de nombreux procès portant sur sa dimension artistique, mais aussi politique, dont des ouvrages tels que L'art et les anartistes d'Hélène Parmelin ou encore l'Etat culturel . essai sur une religion moderne de Marc Fumaroli rendent respectivement compte. Mais c'est sans doute l'article de Jean Baudrillard intitulé " Le complot de l'art ", paru dans Libération du 20 mai 1996, qui donna lieu, l'année suivante, à un record de publications émanant tant d'essayistes que de journalistes soucieux de mettre en question l'esthétique de leur temps, ainsi que la manière dont elle était orchestrée.
Dans une attitude parfaitement opposée, François Dagognet s'est immédiatement fait l'apologiste de l'innovation artistique radicale que représentait l'art contemporain, en regard non seulement de l'art dit classique mais également de l'art moderne. Et s'il est une particularité qui mérite d'être soulignée, c'est l'engagement du philosophe à réhabiliter la matière et l'objet, aussi historiquement dévalorisés l'un que l'autre par la philosophie.
L'auteure parvient ici à restituer l'originalité de cette démarche, qui fait de l'art contemporain un art " matériologique " et " objectologique ", sans pour autant faire l'impasse sur ses versants conceptuel et minimaliste.
L'art contemporain, comme notion esthétique, a connu à ses débuts de nombreux procès portant sur sa dimension artistique, mais aussi politique, dont des ouvrages tels que L'art et les anartistes d'Hélène Parmelin ou encore l'Etat culturel . essai sur une religion moderne de Marc Fumaroli rendent respectivement compte. Mais c'est sans doute l'article de Jean Baudrillard intitulé " Le complot de l'art ", paru dans Libération du 20 mai 1996, qui donna lieu, l'année suivante, à un record de publications émanant tant d'essayistes que de journalistes soucieux de mettre en question l'esthétique de leur temps, ainsi que la manière dont elle était orchestrée.
Dans une attitude parfaitement opposée, François Dagognet s'est immédiatement fait l'apologiste de l'innovation artistique radicale que représentait l'art contemporain, en regard non seulement de l'art dit classique mais également de l'art moderne. Et s'il est une particularité qui mérite d'être soulignée, c'est l'engagement du philosophe à réhabiliter la matière et l'objet, aussi historiquement dévalorisés l'un que l'autre par la philosophie.
L'auteure parvient ici à restituer l'originalité de cette démarche, qui fait de l'art contemporain un art " matériologique " et " objectologique ", sans pour autant faire l'impasse sur ses versants conceptuel et minimaliste.