Pour l’instant, le Frank Thilliez que j’apprécie le moins. Bien sûr, c’est un ouvrage de qualité et le savoir-faire est présent. L’introduction ou plutôt le préambule m’a replongé dans mes tendres années qui étaient marquées par les exactions au Liban et les otages qui y étaient détenu. Les atrocités décrites aussi vieilles que le monde ne m’avaient bien entendu pas expliquées de cette manière à l’époque. Ce qu’a fait vivre Franck Thilliez à Claude Dehaene est d’une cruauté sans noms et pose une question essentielle dans chaque conflits : qu’aurais-je fais,
qu’était-il possible de faire. En y réfléchissant, Dehaene ou mon moi possible se devaient, se doivent de résister, périr au péril de sa dignité mais c’est facile à tapoter, bien au chaud et en France.
Ce dilemme finale est ce que je retiens du livre bien plus que l’intrigue qui n’était pas mais alors pas du tout faite pour moi. Une héroïne assistante sociale… Déjà petit je préférais la Véronique Jeannot aviatrice à la Véronique assistante sociale et caféinomane. De plus, je n’accroche pas du tout au dédoublement, détriplement, déquadruplement, déquintuplement de personnalité. Je suis comme le correcteur orthographique de mon traitement de texte, je n’aime pas du tout ces maux. Très vite, j’ai pensé à Shutter Island. Et de la même manière, malgré une histoire intéressant, le fait de ne pas pouvoir me fier à ce que je lis pour tenter de percer l’intrigue. J’ai réussi à découvrir 2 ou 3 bricoles et j’en suis fier. D’autant que je sais que Franck Thilliez dispose d’une armée de Beta lecteur qu’il lance aux trousses de ses propres intrigues pour mettre son récit à l’épreuve. Avec les troubles de la personnalité, les choses sont quelques peu biaisées.
Comme d’habitude, les techniques et les repères dont dispose le côté obscur sont particulièrement intéressants. Et avec tous ces détraqués et ces assistantes sociales dans la nature Franck Thilliez complique mon endormissement et amoindri la qualité de mon sommeil. Je pense avoir écrit qu’il était vilain et bien je le réitère.
A lex!
Pour l’instant, le Frank Thilliez que j’apprécie le moins. Bien sûr, c’est un ouvrage de qualité et le savoir-faire est présent. L’introduction ou plutôt le préambule m’a replongé dans mes tendres années qui étaient marquées par les exactions au Liban et les otages qui y étaient détenu. Les atrocités décrites aussi vieilles que le monde ne m’avaient bien entendu pas expliquées de cette manière à l’époque. Ce qu’a fait vivre Franck Thilliez à Claude Dehaene est d’une cruauté sans noms et pose une question essentielle dans chaque conflits : qu’aurais-je fais, qu’était-il possible de faire. En y réfléchissant, Dehaene ou mon moi possible se devaient, se doivent de résister, périr au péril de sa dignité mais c’est facile à tapoter, bien au chaud et en France.
Ce dilemme finale est ce que je retiens du livre bien plus que l’intrigue qui n’était pas mais alors pas du tout faite pour moi. Une héroïne assistante sociale… Déjà petit je préférais la Véronique Jeannot aviatrice à la Véronique assistante sociale et caféinomane. De plus, je n’accroche pas du tout au dédoublement, détriplement, déquadruplement, déquintuplement de personnalité. Je suis comme le correcteur orthographique de mon traitement de texte, je n’aime pas du tout ces maux. Très vite, j’ai pensé à Shutter Island. Et de la même manière, malgré une histoire intéressant, le fait de ne pas pouvoir me fier à ce que je lis pour tenter de percer l’intrigue. J’ai réussi à découvrir 2 ou 3 bricoles et j’en suis fier. D’autant que je sais que Franck Thilliez dispose d’une armée de Beta lecteur qu’il lance aux trousses de ses propres intrigues pour mettre son récit à l’épreuve. Avec les troubles de la personnalité, les choses sont quelques peu biaisées.
Comme d’habitude, les techniques et les repères dont dispose le côté obscur sont particulièrement intéressants. Et avec tous ces détraqués et ces assistantes sociales dans la nature Franck Thilliez complique mon endormissement et amoindri la qualité de mon sommeil. Je pense avoir écrit qu’il était vilain et bien je le réitère.