Fin de vie, société et souffrances

Par : Nadia Veyrié

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  • Nombre de pages40
  • PrésentationBroché
  • Poids0.04 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-35687-317-0
  • EAN9782356873170
  • Date de parution16/05/2014
  • CollectionAltérité critique poche
  • ÉditeurLe Bord de l'eau

Résumé

Quelle place accordons-nous à la fin de vie dans une société où sont arborées la performance et l'accélération ? L'auteur, sociologue, évoque le sens accordé à la vie, à la mort et au temps dans cette société : négation de la vie et exclusion de la sensibilité, mort cachée, mort spectacle, temps réduit à une accélération sociale. La santé occidentale est également interrogée. De la santé expropriée, à la santé parfaite, voire totalitaire, l'idéal d'un être humain performant a été fabriqué.
Comment la médecine est-elle alors confrontée à la réalité de la maladie grave et de l'inguérissable ? Car, le temps de la fin de vie très souvent confondu avec l'acte d'euthanasie n'est pas une performance. Comment la personne malade peut-elle vivre sa fin de vie ? Comment se manifeste une demande de mort ? Le corps soignant peut-il répondre à l'attente de soins en fonction de la déshumanisation des institutions ?
Quelle place accordons-nous à la fin de vie dans une société où sont arborées la performance et l'accélération ? L'auteur, sociologue, évoque le sens accordé à la vie, à la mort et au temps dans cette société : négation de la vie et exclusion de la sensibilité, mort cachée, mort spectacle, temps réduit à une accélération sociale. La santé occidentale est également interrogée. De la santé expropriée, à la santé parfaite, voire totalitaire, l'idéal d'un être humain performant a été fabriqué.
Comment la médecine est-elle alors confrontée à la réalité de la maladie grave et de l'inguérissable ? Car, le temps de la fin de vie très souvent confondu avec l'acte d'euthanasie n'est pas une performance. Comment la personne malade peut-elle vivre sa fin de vie ? Comment se manifeste une demande de mort ? Le corps soignant peut-il répondre à l'attente de soins en fonction de la déshumanisation des institutions ?