Ancienne productrice de télévision, EL James est l'auteur à succès de la saga érotique Fifty Shades. Au départ, simple fanfiction de la série Twilight de Stéphanie Meyer, Fifty Shades Tome 1 Cinquante nuances de Grey a été tellement plébiscité par ses lecteurs et lectrices qu'il a été publié en roman. Dans la droite lignée d'Emmanuelle, pénétrez dans l'univers sensuelle et excitant imaginé par l'auteur. Homme ou femme, vous vous reconnaîtrez dans le jeu de domination des personnages de Christian Grey, adepte du sadomasochisme ou d'Anastasia Rose Steele, totalement soumise à son maître sexuel. Les avis de nos lecteurs sont unanimes : cette histoire d'amour addictive aux personnages attachants se dévore avec une facilité déconcertante. Laissant une grande place à l'imagination, succombez aux charmes de cette saga, déjà culte. Profitez de la livraison à 0.01€ et de notre garantie satisfait ou remboursé pour découvrir d'autres histoires érotique dont 80 notes de jaune de Vina Jackson ou le passionnant Crossfire Tome 1 Dévoile-moi de Sylvia Day.
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- Nombre de pages665
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.34 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-253-17650-3
- EAN9782253176503
- Date de parution05/02/2014
- CollectionLe Livre de Poche
- ÉditeurLGF/Livre de Poche
- TraducteurDenyse Beaulieu
Résumé
Anastasia Steele, étudiante en littérature, a accepté la proposition de son amie journaliste de prendre sa place pour interviewer Christian Grey, un jeune et richissime chef d'entreprise de Seattle. Dès le premier regard, elle est à la fois séduite et intimidée. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l'oublier, jusqu'à ce qu'il débarque dans le magasin où elle travaille à mi-temps et lui propose un rendez-vous.
Ana est follement attirée par cet homme. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée, elle découvre son pouvoir érotique, ainsi que la part obscure qu'il tient à dissimuler... Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances de Grey est le premier volume, vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais. Le roman le plus vendu dans le monde en 2012.
Ana est follement attirée par cet homme. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée, elle découvre son pouvoir érotique, ainsi que la part obscure qu'il tient à dissimuler... Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances de Grey est le premier volume, vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais. Le roman le plus vendu dans le monde en 2012.
Anastasia Steele, étudiante en littérature, a accepté la proposition de son amie journaliste de prendre sa place pour interviewer Christian Grey, un jeune et richissime chef d'entreprise de Seattle. Dès le premier regard, elle est à la fois séduite et intimidée. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l'oublier, jusqu'à ce qu'il débarque dans le magasin où elle travaille à mi-temps et lui propose un rendez-vous.
Ana est follement attirée par cet homme. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée, elle découvre son pouvoir érotique, ainsi que la part obscure qu'il tient à dissimuler... Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances de Grey est le premier volume, vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais. Le roman le plus vendu dans le monde en 2012.
Ana est follement attirée par cet homme. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée, elle découvre son pouvoir érotique, ainsi que la part obscure qu'il tient à dissimuler... Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances de Grey est le premier volume, vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais. Le roman le plus vendu dans le monde en 2012.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
3 Coups de cœur
de nos libraires
Fabien— Decitre Part-Dieu
2/5
“ Tous les ciseaux d'Anastasie sont gris. ”
Il y aurait donc les « bons » livres d'un côté, et les "mauvais" livres de l'autre, le nombre de vente de ces derniers étant inversement proportionnel à leur qualité littéraire ? Un « bon » livre est peut être celui que l'on prend plaisir à lire malgré ses imperfections, on y passe un moment de détente, loin des contingences, on atteint une forme de sérénité, oubliant qu'on a un cerveau, ou le mettant en repos, ne serait-ce que pour quelques minutes, rien que ça, mettre en pause cette noria à méninges, ce flux incessant de gamberge qui peut parfois vous entraîner jusqu'aux affres de l'insomnie, rien que pour cette merci, ce genre de livre a toute ma reconnaissance.
Cette romance entre Grey et Anastasia correspond parfaitement à l'image que je peux me faire de celles que l'on trouve dans les myriades de romans qu'écrivent Barbara Cartland et ses consœurs. Un beau millionnaire et une jeune étudiante, vierge de surcroît, sommes-nous vraiment au XXIe siècle ? N'ai-je pas entre les mains un ouvrage de science-fiction ? C'est très basique, sous des oripeaux de complexité sentimentale, c'est écœurant à un tel point que cela en devient réconfortant, c'est comme se bourrer de chocolat ad nauseam ; et le livre est même parfois drôle, n'en déplaise aux grincheux, qui n'aime pas rire ? L'improbable fait rêver, pourquoi pas. Le mystère de l'attraction livresque que l'on éprouve réside aussi dans son côté redondant, routine dans la répétition d'expressions maladroites, voir triviales, resservies à longueur de pages (l'éditeur a du s'assoupir en route),un petit élagage n'aurait rien retirer à la « qualité » de l'ensemble. Combien de « oh mon dieu », « oh putain » ou de « déesse intérieure » aurait-on pu supprimer, faisant du même coup un geste pour l'écologie planétaire ? Mais la romancière a peut-être été payer à la ligne comme nos feuilletoniste du XIXe ? Les dialogues inutiles auraient donc une utilité économique, même s'ils alourdissent l'ensemble ? Ou bien est-ce une touche de féminité – j'ai toujours penser qu'il me faudrait plusieurs vies, comme les chats, pour « tenir » face aux insatiables babillages féminins – dans ce qui est, après tout, un livre pornographique. Les scènes de sexe s'y multiplient sur le même mode opératoire que les dialogues, le but est bien de provoquer une forme d'excitation, ou d'énormes bâillements, c'est selon. Alors pourquoi ne balance-t-on pas l'ouvrage à travers la pièce, en hurlant de dépit, usant de cet argument critique implacable, bien qu'un peu usé, « mais c'est de la merde ! » ? Y aurait-il un discours sous-jacent, inscrit en creux, et qui opérerait sa magie, insidieuse et fascinante, sur nous pauvres lecteurs ? Le livre est-il imprimer sur une matière aux propriétés addictives, nous flinguant quelques neurones au passage, comme le fait toute bonne bière digne de ce nom ? Ne reculant devant aucun sacrifice, afin de parvenir à répondre de cette fascination, je m'apprête à présent à m'enfiler le deuxième tome.
Il y aurait donc les « bons » livres d'un côté, et les "mauvais" livres de l'autre, le nombre de vente de ces derniers étant inversement proportionnel à leur qualité littéraire ? Un « bon » livre est peut être celui que l'on prend plaisir à lire malgré ses imperfections, on y passe un moment de détente, loin des contingences, on atteint une forme de sérénité, oubliant qu'on a un cerveau, ou le mettant en repos, ne serait-ce que pour quelques minutes, rien que ça, mettre en pause cette noria à méninges, ce flux incessant de gamberge qui peut parfois vous entraîner jusqu'aux affres de l'insomnie, rien que pour cette merci, ce genre de livre a toute ma reconnaissance.
Cette romance entre Grey et Anastasia correspond parfaitement à l'image que je peux me faire de celles que l'on trouve dans les myriades de romans qu'écrivent Barbara Cartland et ses consœurs. Un beau millionnaire et une jeune étudiante, vierge de surcroît, sommes-nous vraiment au XXIe siècle ? N'ai-je pas entre les mains un ouvrage de science-fiction ? C'est très basique, sous des oripeaux de complexité sentimentale, c'est écœurant à un tel point que cela en devient réconfortant, c'est comme se bourrer de chocolat ad nauseam ; et le livre est même parfois drôle, n'en déplaise aux grincheux, qui n'aime pas rire ? L'improbable fait rêver, pourquoi pas. Le mystère de l'attraction livresque que l'on éprouve réside aussi dans son côté redondant, routine dans la répétition d'expressions maladroites, voir triviales, resservies à longueur de pages (l'éditeur a du s'assoupir en route),un petit élagage n'aurait rien retirer à la « qualité » de l'ensemble. Combien de « oh mon dieu », « oh putain » ou de « déesse intérieure » aurait-on pu supprimer, faisant du même coup un geste pour l'écologie planétaire ? Mais la romancière a peut-être été payer à la ligne comme nos feuilletoniste du XIXe ? Les dialogues inutiles auraient donc une utilité économique, même s'ils alourdissent l'ensemble ? Ou bien est-ce une touche de féminité – j'ai toujours penser qu'il me faudrait plusieurs vies, comme les chats, pour « tenir » face aux insatiables babillages féminins – dans ce qui est, après tout, un livre pornographique. Les scènes de sexe s'y multiplient sur le même mode opératoire que les dialogues, le but est bien de provoquer une forme d'excitation, ou d'énormes bâillements, c'est selon. Alors pourquoi ne balance-t-on pas l'ouvrage à travers la pièce, en hurlant de dépit, usant de cet argument critique implacable, bien qu'un peu usé, « mais c'est de la merde ! » ? Y aurait-il un discours sous-jacent, inscrit en creux, et qui opérerait sa magie, insidieuse et fascinante, sur nous pauvres lecteurs ? Le livre est-il imprimer sur une matière aux propriétés addictives, nous flinguant quelques neurones au passage, comme le fait toute bonne bière digne de ce nom ? Ne reculant devant aucun sacrifice, afin de parvenir à répondre de cette fascination, je m'apprête à présent à m'enfiler le deuxième tome.

3/5
“ BOF... ”
Un roman qui se laisse lire quand on n'a rien d'autre à se mettre dans les mains. Il est destiné à un public averti.
Du statut d'innocente, Anastasia passe directement à un monde où la lubricité et la violence font loi sous les traits d'un homme séduisant "Dieu du sexe". Quel revirement!
Si on laisse de côté la "qualité de l'écriture", les dialogues vulgaires, la couche de "Porn Mummy", on arrive à déceler une histoire qui mériterait d'être développée.
La détresse de Christian, qui cache autant qu'il le peut ses noirs secrets enfouis tout au fond de lui, qui ont détruits son enfance et qui ont fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui. La tendresse d' Ana et l'amour qu'elle lui porte sauront-ils venir à bout de cette résistance à se livrer et à le libérer de cette carapace?
Le prochain volet aura-t-il plus de qualité que le premier, espérons-le.
J'avoue que j'ai du mal à comprendre le succès de ce livre, mais comme on dit, tous les goûts sont dans la nature, et le plaisir de lire commence bien quelque part...
Un roman qui se laisse lire quand on n'a rien d'autre à se mettre dans les mains. Il est destiné à un public averti.
Du statut d'innocente, Anastasia passe directement à un monde où la lubricité et la violence font loi sous les traits d'un homme séduisant "Dieu du sexe". Quel revirement!
Si on laisse de côté la "qualité de l'écriture", les dialogues vulgaires, la couche de "Porn Mummy", on arrive à déceler une histoire qui mériterait d'être développée.
La détresse de Christian, qui cache autant qu'il le peut ses noirs secrets enfouis tout au fond de lui, qui ont détruits son enfance et qui ont fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui. La tendresse d' Ana et l'amour qu'elle lui porte sauront-ils venir à bout de cette résistance à se livrer et à le libérer de cette carapace?
Le prochain volet aura-t-il plus de qualité que le premier, espérons-le.
J'avoue que j'ai du mal à comprendre le succès de ce livre, mais comme on dit, tous les goûts sont dans la nature, et le plaisir de lire commence bien quelque part...
- Irritant
- XXIe siècle
- Katherine
- vancouver
- violence
- douleur
- noirceur
- Seattle
- Intriguant
- sexe
- Christian
- Anastasia
- Savanah
- Grey
- Elliot
- Kavanagh
- Taylor
- ténébreux
- sadomasochiste
- étudiante
- riche

Carole-Violette— Decitre Part-Dieu
1/5
“ WTF ?! ”
Je n'ai jamais été autant déçue par un livre qu'en lisant "Fifty shades of Grey"...
Comme il faisait un buzz, je voulais voir de quoi il s'agissait pour pouvoir le juger et c'est donc en réussissant à ne pas me spoiler sur l'intrigue que je l'ai commencé. J'en suis au chapitre 17 (soit un peu plus de la moitié) et il est hors de question que je poursuive ! Mais c'est quoi ce truc ?! La critique trouve ça 'érotique' ?! C'est juste malsain, dérangé, détraqué, voyeur et complètement glauque o_O (en plus d'être écrit avec les pieds) Sérieusement, écrire un Twilight pornographique pour adultes coincés, il fallait oser -_-'
Je n'ai jamais été autant déçue par un livre qu'en lisant "Fifty shades of Grey"...
Comme il faisait un buzz, je voulais voir de quoi il s'agissait pour pouvoir le juger et c'est donc en réussissant à ne pas me spoiler sur l'intrigue que je l'ai commencé. J'en suis au chapitre 17 (soit un peu plus de la moitié) et il est hors de question que je poursuive ! Mais c'est quoi ce truc ?! La critique trouve ça 'érotique' ?! C'est juste malsain, dérangé, détraqué, voyeur et complètement glauque o_O (en plus d'être écrit avec les pieds) Sérieusement, écrire un Twilight pornographique pour adultes coincés, il fallait oser -_-'
- Terrifiant
- Choquant
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
3.3/5

5/5
“ Passionnant ”
Livre lu en numérique avant de voir les films qui ont suivis. J'ai adoré, j'ai dévoré le bouquin en à peine 2 jours ! Pourtant ce n'est pas du tout mon style de lecture à la base, c'était une première pour moi.
Si vous êtes étroit d'esprit et/ou coincé(e) passez votre chemin.
ATTENTION ! Si vous commandez le tome 1, vous ne recevrez pas la nouvelle édition avec comme couverture l'affiche du film mais la 1ère édition avec comme couverture la cravate grise. Je me suis faite avoir et étant déçue car pour moi c'est de la publicité mensongère, j'ai renvoyé le livre et j'attends mon remboursement.
Tant pis je garde mon livre numérique
Livre lu en numérique avant de voir les films qui ont suivis. J'ai adoré, j'ai dévoré le bouquin en à peine 2 jours ! Pourtant ce n'est pas du tout mon style de lecture à la base, c'était une première pour moi.
Si vous êtes étroit d'esprit et/ou coincé(e) passez votre chemin.
ATTENTION ! Si vous commandez le tome 1, vous ne recevrez pas la nouvelle édition avec comme couverture l'affiche du film mais la 1ère édition avec comme couverture la cravate grise. Je me suis faite avoir et étant déçue car pour moi c'est de la publicité mensongère, j'ai renvoyé le livre et j'attends mon remboursement.
Tant pis je garde mon livre numérique
“ 50 nuances de grey 1 ”
Etant donné que je vais aller voir l’interprétation cinématographique je me suis dis que ce serait une bonne idée que de relire la trilogie.
La première fois que j’ai lu ce livre je voulais comprendre pourquoi ce roman était autant emprunté dans la bibliothèque municipale où je travaillais. Alors certes ce n’est pas de la grande littérature, les personnages ou les situations sont parfois caricaturées mais moi j’ai vraiment accroché.
Anastasia Steele, en rendant un service à une amie, va faire la rencontre du richissime et puissant M. Grey. Elle va tout de suite tomber sous son charme, et la réciproque est évidente. Mais ce M. Grey va la fuir car il n’est pas l’homme qu’elle recherche, il pourrait la blesser, lui faire de la peine. Sauf que leur attirance est trop forte et qu’ils vont tous les deux craquer. Mais la condition pour que cette relation démarre c’est qu’Anna accepte de devenir une soumise car Christian Grey ne peut avoir de relations sentimentales que dans une relation sadomasochiste où il va incarner le dominant.
Les personnages son très sympathiques, leurs échanges et leur relation qui évolue rythment la lecture. J’ai été parfois atterrée de certaines répliques ou situations, et j’ai souvent rigolé ou levé les yeux au ciel. Les pages se tournent facilement, et on entre bien vite dans le livre. L’univers de l’intrigue, les dialogues et les personnages sont très bien pensés.
Anna est très douce, c’est une jeune femme brillante et enjouée. Mais elle manque cruellement de confiance en elle. Sa rencontre avec Christian va la bouleverser et va la faire évoluer sur bien des plans et en général de façon positive. Christian quand à lui c’est un homme qui aime garder le contrôle dans toute situation. Grâce à Anna et à sa spontanéité il va s’ouvrir à la vie. Il va apprendre à rire, plaisanter, profiter des choses comme elle vienne. Au final les deux personnages vont se pousser (sans vraiment le chercher) à évoluer, grandir et c’est très intéressant. Ils sont bénéfiques à l’autre.
Lire la suite ici: https://mapetitecritique.wordpress.com/2015/02/16/cinquante-nuances-de-grey/
Etant donné que je vais aller voir l’interprétation cinématographique je me suis dis que ce serait une bonne idée que de relire la trilogie.
La première fois que j’ai lu ce livre je voulais comprendre pourquoi ce roman était autant emprunté dans la bibliothèque municipale où je travaillais. Alors certes ce n’est pas de la grande littérature, les personnages ou les situations sont parfois caricaturées mais moi j’ai vraiment accroché.
Anastasia Steele, en rendant un service à une amie, va faire la rencontre du richissime et puissant M. Grey. Elle va tout de suite tomber sous son charme, et la réciproque est évidente. Mais ce M. Grey va la fuir car il n’est pas l’homme qu’elle recherche, il pourrait la blesser, lui faire de la peine. Sauf que leur attirance est trop forte et qu’ils vont tous les deux craquer. Mais la condition pour que cette relation démarre c’est qu’Anna accepte de devenir une soumise car Christian Grey ne peut avoir de relations sentimentales que dans une relation sadomasochiste où il va incarner le dominant.
Les personnages son très sympathiques, leurs échanges et leur relation qui évolue rythment la lecture. J’ai été parfois atterrée de certaines répliques ou situations, et j’ai souvent rigolé ou levé les yeux au ciel. Les pages se tournent facilement, et on entre bien vite dans le livre. L’univers de l’intrigue, les dialogues et les personnages sont très bien pensés.
Anna est très douce, c’est une jeune femme brillante et enjouée. Mais elle manque cruellement de confiance en elle. Sa rencontre avec Christian va la bouleverser et va la faire évoluer sur bien des plans et en général de façon positive. Christian quand à lui c’est un homme qui aime garder le contrôle dans toute situation. Grâce à Anna et à sa spontanéité il va s’ouvrir à la vie. Il va apprendre à rire, plaisanter, profiter des choses comme elle vienne. Au final les deux personnages vont se pousser (sans vraiment le chercher) à évoluer, grandir et c’est très intéressant. Ils sont bénéfiques à l’autre.
Lire la suite ici: https://mapetitecritique.wordpress.com/2015/02/16/cinquante-nuances-de-grey/
- érotisme
4/5
“ Un livre ni choquant ni dégoutant ”
J'ai donc lu le premier livre de cette trilogie et j'avoue que ce n'est pas le genre de lecture que j'ai l'habitude de lire. En quelques mots : j’ai aimé et je vais lire les deux autres bouquins. Cette histoire me semble probable car, à part le contrat à signer qui est un peu tiré par les cheveux, Christian emmène réellement et progressivement Anastasie dans un monde inconnu pour elle. Le but recherché par EL James n’est nullement d’éduquer le lecteur aux pratiques sado-maso. Celui qui y cherchera du « Marquis de Sade » ou de la documentation sur les pratiques sado-maso se trompe de lecture. L’auteur relate une histoire entre deux êtres tout-à-fait différents : un homme jeune qui très tôt a été initié à certaines pratiques sexuelles très « spéciales » qui pour « aimer » doit dominer et faire mal et une jeune femme amoureuse qui désire plus que tout faire « plaisir » à son partenaire et décide d’essayer la « soumission » puisque lui en a besoin. On ne trouvera qu’une seule réelle scène de violence tout à la fin du livre, c’est trop pour Anastasia qui estime alors que Christian veut aller trop loin et le quitte.
J'ai donc lu le premier livre de cette trilogie et j'avoue que ce n'est pas le genre de lecture que j'ai l'habitude de lire. En quelques mots : j’ai aimé et je vais lire les deux autres bouquins. Cette histoire me semble probable car, à part le contrat à signer qui est un peu tiré par les cheveux, Christian emmène réellement et progressivement Anastasie dans un monde inconnu pour elle. Le but recherché par EL James n’est nullement d’éduquer le lecteur aux pratiques sado-maso. Celui qui y cherchera du « Marquis de Sade » ou de la documentation sur les pratiques sado-maso se trompe de lecture. L’auteur relate une histoire entre deux êtres tout-à-fait différents : un homme jeune qui très tôt a été initié à certaines pratiques sexuelles très « spéciales » qui pour « aimer » doit dominer et faire mal et une jeune femme amoureuse qui désire plus que tout faire « plaisir » à son partenaire et décide d’essayer la « soumission » puisque lui en a besoin. On ne trouvera qu’une seule réelle scène de violence tout à la fin du livre, c’est trop pour Anastasia qui estime alors que Christian veut aller trop loin et le quitte.
A propos de E.L. James

20,00 €

9,90 €

3/5
9,90 €

3.6/5
10,90 €

5/5
10,90 €

3.5/5
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3.3/5
9,90 €

4.7/5
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1.8/5
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