Felice Beato (1832-1909). Aux origines de la photographie de guerre

Par : Catherine Pinguet

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  • Nombre de pages253
  • PrésentationBroché
  • Poids0.498 kg
  • Dimensions14,1 cm × 20,5 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-271-07885-8
  • EAN9782271078858
  • Date de parution24/04/2014
  • ÉditeurCNRS

Résumé

En bref Sur les traces du premier grand photographe de guerre. Le livre Fûts de canon à l'abandon, casemates désertes, paysages vides et monotones. Les premières photographies de guerre, celle de Crimée en 1855, annoncent une petite révolution : la photographie va devenir un témoin incontournable, un acteur même, de tous les conflits modernes. Felice Beato est le premier grand photographe de guerre, celui à qui l'on doit les images parfois insoutenables des expéditions coloniales britanniques.
Personnage romanesque et cosmopolite, né à Venise en 1832, grandissant à Corfou et Constantinople, il apprend la photographie et part à vingt-trois ans couvrir la poudre, la mort et le sang. Son errance ne cessera plus, tirant le portrait des puissants de l'époque, sultans ou condottiere, courant la fortune et les aventures. Catherine Pinguet part sur les traces de cet Italien de l'Orient et nous fait découvrir ses images de guerre : préparation des navires de guerre en rade de Sébastopol, révolte des Cipayes en Inde, seconde guerre de l'Opium en Chine, bombardements au Japon, expédition américaine en Corée, campagne britannique au Soudan.
Ne cherchant pas seulement à dater les clichés ou leurs commanditaires, elle s'interroge sur le choix des sujets, la façon de les mettre en scène, sur ce que l'on donne à voir et ce que l'on se garde de montrer. Elle questionne aussi les légendes qui accompagnaient les images et sans lesquelles ces clichés ne pourraient rien dire. Un livre passionnant sur l'homme, la photographie et les guerres coloniales.
L'auteur Catherine Pinguet est chercheuse associée au Centre d'études turques, ottomanes, balkaniques et centrasiatiques. Elle est notamment l'auteur d'Istanbul, Photographes et sultans (CNRS Editions, 2011). Arguments - L'histoire d'un pionnier de la photographie de guerre - Images spectaculaires - Une histoire de conflits coloniaux méconnus
En bref Sur les traces du premier grand photographe de guerre. Le livre Fûts de canon à l'abandon, casemates désertes, paysages vides et monotones. Les premières photographies de guerre, celle de Crimée en 1855, annoncent une petite révolution : la photographie va devenir un témoin incontournable, un acteur même, de tous les conflits modernes. Felice Beato est le premier grand photographe de guerre, celui à qui l'on doit les images parfois insoutenables des expéditions coloniales britanniques.
Personnage romanesque et cosmopolite, né à Venise en 1832, grandissant à Corfou et Constantinople, il apprend la photographie et part à vingt-trois ans couvrir la poudre, la mort et le sang. Son errance ne cessera plus, tirant le portrait des puissants de l'époque, sultans ou condottiere, courant la fortune et les aventures. Catherine Pinguet part sur les traces de cet Italien de l'Orient et nous fait découvrir ses images de guerre : préparation des navires de guerre en rade de Sébastopol, révolte des Cipayes en Inde, seconde guerre de l'Opium en Chine, bombardements au Japon, expédition américaine en Corée, campagne britannique au Soudan.
Ne cherchant pas seulement à dater les clichés ou leurs commanditaires, elle s'interroge sur le choix des sujets, la façon de les mettre en scène, sur ce que l'on donne à voir et ce que l'on se garde de montrer. Elle questionne aussi les légendes qui accompagnaient les images et sans lesquelles ces clichés ne pourraient rien dire. Un livre passionnant sur l'homme, la photographie et les guerres coloniales.
L'auteur Catherine Pinguet est chercheuse associée au Centre d'études turques, ottomanes, balkaniques et centrasiatiques. Elle est notamment l'auteur d'Istanbul, Photographes et sultans (CNRS Editions, 2011). Arguments - L'histoire d'un pionnier de la photographie de guerre - Images spectaculaires - Une histoire de conflits coloniaux méconnus