Fantasme de matricide et culpabilité inconsciente
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- Nombre de pages178
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.366 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-10-070587-0
- EAN9782100705870
- Date de parution15/01/2014
- CollectionInconscient et culture
- ÉditeurDunod
Résumé
La question du meurtre du père associée à la transgression incestueuse sont considérées par Freud comme des organisateurs de la psyché. Jusqu'à présent, il y manquait cependant une suffisante prise en compte d'une figure féminine fondamentale, celle de Jocaste, à la fois inverse et complémentaire de celle, masculine, du meurtre oedipien. Les auteurs ont choisi de privilégier la figure du meurtre de la mère, qui met sur le chemin d'une expérience sans doute plus profonde et même originaire par rapport à celle, classique, du paricide oedipien et des culpabilités qui en découlent.
Les auteurs interrogent aussi bien la clinique que les contes et récits mythologiques pour illustrer cette ouverture théorique, qui doit permettre de mieux envisager les nouvelles pathologies.
Les auteurs interrogent aussi bien la clinique que les contes et récits mythologiques pour illustrer cette ouverture théorique, qui doit permettre de mieux envisager les nouvelles pathologies.
La question du meurtre du père associée à la transgression incestueuse sont considérées par Freud comme des organisateurs de la psyché. Jusqu'à présent, il y manquait cependant une suffisante prise en compte d'une figure féminine fondamentale, celle de Jocaste, à la fois inverse et complémentaire de celle, masculine, du meurtre oedipien. Les auteurs ont choisi de privilégier la figure du meurtre de la mère, qui met sur le chemin d'une expérience sans doute plus profonde et même originaire par rapport à celle, classique, du paricide oedipien et des culpabilités qui en découlent.
Les auteurs interrogent aussi bien la clinique que les contes et récits mythologiques pour illustrer cette ouverture théorique, qui doit permettre de mieux envisager les nouvelles pathologies.
Les auteurs interrogent aussi bien la clinique que les contes et récits mythologiques pour illustrer cette ouverture théorique, qui doit permettre de mieux envisager les nouvelles pathologies.








