Faire sensation. Jouerécouterécrire

Par : Alvaro Oviedo
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  • Nombre de pages258
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.447 kg
  • Dimensions17,0 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-7535-9696-2
  • EAN9782753596962
  • Date de parution06/02/2025
  • CollectionAesthetica
  • ÉditeurPU Rennes

Résumé

Comment les expériences du jeu et de l'écoute sont-elles impliquées dans l'écriture musicale des XXe et XXIe siècles chez György Kurtág et Helmut Lachenmann, chez Luciano Berio, Anton Webern, Pierre Boulez, Fausto Romitelli et Olga Neuwirth ? Les réponses ici proposées passent par une esthétique du corps, de la sensation, du lien matière-signification, du devenir et du possible pour dégager non seulement de nouvelles catégories de l'écriture musicale mais aussi une conception ouverte de l'oeuvre : une sensation en train de se faire, le devenir enchevêtré des trois actes constitutifs du musical - jouerécouterécrire.
L'ouvrage fait ainsi apparaître l'idée selon laquelle la véritable matière de la musique n'est ni la note ni le son, mais le geste, c'est-à-dire un faire indissociable d'un affect, c'est-à-dire d'un sentir. Le propre de la musique c'est alors de faire sentir : quelque chose qui n'était pas perceptible jusque-là le devient - une brèche s'ouvre, celle d'un monde possible. Un geste musical nous touche, il fait irruption, il transforme nos manières de sentir et de penser.
Il fait sensation. Avec le soutien de l'université de Paris 8 (Laboratoire MUSIDANSE)
Comment les expériences du jeu et de l'écoute sont-elles impliquées dans l'écriture musicale des XXe et XXIe siècles chez György Kurtág et Helmut Lachenmann, chez Luciano Berio, Anton Webern, Pierre Boulez, Fausto Romitelli et Olga Neuwirth ? Les réponses ici proposées passent par une esthétique du corps, de la sensation, du lien matière-signification, du devenir et du possible pour dégager non seulement de nouvelles catégories de l'écriture musicale mais aussi une conception ouverte de l'oeuvre : une sensation en train de se faire, le devenir enchevêtré des trois actes constitutifs du musical - jouerécouterécrire.
L'ouvrage fait ainsi apparaître l'idée selon laquelle la véritable matière de la musique n'est ni la note ni le son, mais le geste, c'est-à-dire un faire indissociable d'un affect, c'est-à-dire d'un sentir. Le propre de la musique c'est alors de faire sentir : quelque chose qui n'était pas perceptible jusque-là le devient - une brèche s'ouvre, celle d'un monde possible. Un geste musical nous touche, il fait irruption, il transforme nos manières de sentir et de penser.
Il fait sensation. Avec le soutien de l'université de Paris 8 (Laboratoire MUSIDANSE)