Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pour en finir une fois pour toutes avec la conception " lacrymale " de l'histoire juive qui ne veut voir que malheur, persécution et tristesse accablant...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
Pour en finir une fois pour toutes avec la conception " lacrymale " de l'histoire juive qui ne veut voir que malheur, persécution et tristesse accablant sans cesse les Juifs au cours de leur histoire, il suffit de montrer que, " face au pouvoir ", ceux-ci se comportent comme tous les acteurs : ils s'efforcent d'adapter leurs actions à des environnements politiques contrastés et mettent en oeuvre des stratégies politiques multiples. Mais analyser leurs comportements " face au pouvoir " suppose non seulement de jeter un regard comparatif sur leurs différents rapports au politique, selon le type d'État et d'environnement démocratique qui s'y rencontre, mais encore d'interroger l'incidence, sur ces comportements, des mutations proprement politiques en cours - des menaces sur l'État-nation à travers le déclin de ses attributs régaliens à la remise en cause de ses frontières par le transnationalisme et les phénomènes de globalisation. Devant ces grands changements, le lien qui unit traditionnellement les Juifs à l'État est-il menacé, bouleversant aussi les fondements de leur citoyenneté ? À l'encontre de l'ancienne alliance royale, avec ses aléas, la démocratie pluraliste s'offre-t-elle, pour autant, comme le cadre le plus sûr de leur existence ? Serait-il préférable qu'ils demeurent loin du pouvoir politique, loin de l'État ? Devraient-ils, dès lors, se tenir au-dedans de la seule société civile, même s'ils redoutent, parfois à juste titre, le règne de l'opinion publique, avec ses excès, cette " face noire de la démocratie " qui laisse s'exprimer librement les idées les plus radicales ? L'Europe pourrait-elle être un substitut capable d'assurer leur sécurité ?