Les Etats-Unis entretiennent avec les droits de l'homme une relation ambivalente. D'un côté, cet Etat apparaît comme l'élève modèle des droits de l'homme, et de l'autre il est perçu à bien des égards comme un cancre en la matière. Cette schizophrénie, souvent décriée, s'expliquerait par une conception proprement américaine du droit international des droits de l'homme et par une posture politiqué, et culturelle que d'aucuns qualifient d'" exceptionnalisme américain ". Cet ouvrage a pour objet de cerner les influences et effets de cet " exceptionnalisme " sur la relation que les Etats-Unis entretiennent avec les droits de l'homme.
Les Etats-Unis entretiennent avec les droits de l'homme une relation ambivalente. D'un côté, cet Etat apparaît comme l'élève modèle des droits de l'homme, et de l'autre il est perçu à bien des égards comme un cancre en la matière. Cette schizophrénie, souvent décriée, s'expliquerait par une conception proprement américaine du droit international des droits de l'homme et par une posture politiqué, et culturelle que d'aucuns qualifient d'" exceptionnalisme américain ". Cet ouvrage a pour objet de cerner les influences et effets de cet " exceptionnalisme " sur la relation que les Etats-Unis entretiennent avec les droits de l'homme.