Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'oeuvre illustre d'un poète illustre: Eugène Oniéguine, c'est toute la Russie du début du XIXe siècle. L'histoire de la composition de ce livre...
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L'oeuvre illustre d'un poète illustre: Eugène Oniéguine, c'est toute la Russie du début du XIXe siècle. L'histoire de la composition de ce livre fondateur de la littérature rus-se, c'est l'histoire même de Pouchkine, de sa vie d'homme épris de liberté, de fantaisie, et étouffé par un pouvoir autocratique. C'est aussi comme une prémonition de son destin: la mort de Vladimir Lienski, personnage secondaire du roman, dans un duel stupide, semble préfigurer le duel-assassinat de Pouchkine lui-même. Le grand poète a écrit, on le sait, d'autres pages, belles, passionnantes, souvent marquées d'une ironie à la fois légère et grave, mais Eugène Oniéguine reste son legs capital. L'Age d'Homme a déjà publié, dans un esprit de recherche et de précision, les euvres poétiques de Pouchkine en deux volumes ainsi qu'un volume d'Oeuvres en prose réunissant ses drames et ses romans. C'est aux mêmes exigences de rigueur et de renouveau que répond la présente traduction, considérée comme la plus fidèle et la plus poétique de la langue française.