Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
3Mëme si elle tient à la fois de la poésie et du sermon, La République est avant tout un livre de philosophie. " Et Nettleship, un de ses plus grands...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
3Mëme si elle tient à la fois de la poésie et du sermon, La République est avant tout un livre de philosophie. " Et Nettleship, un de ses plus grands interprètes, énonçait en conséquence de principe de lecture : il faut voir comment Platon arrive à ses conclusions avant de les critiquer. Pour les critiques, elles n'ont jamais manqué, que ce soit envers la nature utopique ou totalitaire qu'on reconnaît à l'œuvre, ou à l'égard des thèses métaphysiques ou politiques jugées exorbitantes, tel ce mystérieux " bien par delà l'essence " ou celle du gouvernement des philosophes. Dans les deux volumes présentés, ces critiques ne sont pas ignorées (elles sont parfois même reprises), pas plus que ne l'est le dur contexte historique ou biographique qui a environné la rédaction de l'œuvre, mais ce sont bien " avant tout " les questions essentielles soulevées par le texte et leurs difficultés qui sont abordées. Car la République n'a pas pour but d'exposer la théorie politique de Platon mais de réfléchir philosophiquement sur la politique, ce qui a pour effet de modifier et d'élargir considérablement le sens de ce terme. C'est ce que montre le premier volume de ces Etudes. Si la question est de savoir quel type de citoyen une cité doit former et quelle place elle doit assigner à ceux qui sont doués pour des tâches différentes, on voit en effet le lien étroit unissant le problème de l'éducation, donc du rôle des poètes et des artistes, la question de la nature de la justice dans la cité et dans l'âme et l'interrogation quant à la sorte de bonheur qu'une cité si rigidement hiérarchisée peut apporter à ses membres.
Sommaire
L'ART ET LA CITE
Les poètes, responsables de la déchéance de la cité
La mimèsis reconsidérée : une optique platonicienne
Mimèsis narrative et formation du caractère
Musique et philosophie en République II-IV
Platon, promoteur d'une psychologie musicale
PSYCHOLOGIE ET POLITIQUE
La tripartition de l'âme -Politique et éthique de l'âme dans le Livre IV
Histoire, politique et pratique aux livres VIII et IX de la république
Malaise dans la cité -Eros et tyrannie au livre IX de la République
L'ellision de l'oikos dans la République de Platon
LA JUSTICE DANS LA CITE ET DANS L'AME
Justice socratique, justice platonicienne
Justice dans la cité et justice en l'âme : une analogie imparfaite
La justice de l'âme dans la République
La justice comme harmonie de l'âme dans la République et dans les Ennéades