Ça fait quelques paires d’années que Bizien est dans le panorama littéraire.
Il fait partie de ces auteurs multifacettes, qui sont capables te faire un polar tiré à quatre épingles digne du Prix du Quai des Orfèvres, en passant par du jeunesse, de la SF, du roman noir, de t’emmener aux pays des dragons, te faire marrer avec Vuk Kovasevic. Ils ne sont pas nombreux à sortir de leur pré carré sans se planter la gueule dans une ornière. Bizien est l’un de ceux-là, c’est te dire le talent du bonhomme…
C’est aussi un gus qui suit l’actualité, qui s’est dit que les
Gilets Jaunes pouvaient servir de contexte à un roman policier. Le genre de bouquin qui pourrait vite sombrer dans la caricature, sauf que Jean-Luc prend le problème à revers, loin de faire le mouvement une pièce maîtresse de son intrigue, c’est juste un élément indispensable du décor.
Il va t’offrir un duo de flics qui tient la route, loin de la caricature du flic divorcé et alcoolo, il n’en a pas besoin pour que tu « accroches » à ses personnages. Tu es aux côtés de Le Guen pour tenter de comprendre qui flingue ces vieux bourgeois.
Le plus de ce roman ?
L’intelligence…
Je t’explique : Bizien fait un bouquin qui se déroule pendant la crise des Gilets Jaunes, tu te dis que l’auteur va te faire passer des messages « sociaux » via ce mouvement. Ben non, rappelle-toi que la plume, Bizien, il la manipule depuis pas loin de vingt piges, alors il est bien plus malin que ça, et surtout, il aime bien étonner, piéger…
Idem, pas de blanc, pas de noir, du gris, j’entends par là que les protagonistes de ce livre sont des fildeféristes de la vie, toujours en équilibre pour ne pas basculer.
Lire Et puis mourir, le finir, fermer le livre, et puis sourire…
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/01/03/38739232.html
Le plus de ce roman ? L’intelligence…
Ça fait quelques paires d’années que Bizien est dans le panorama littéraire.
Il fait partie de ces auteurs multifacettes, qui sont capables te faire un polar tiré à quatre épingles digne du Prix du Quai des Orfèvres, en passant par du jeunesse, de la SF, du roman noir, de t’emmener aux pays des dragons, te faire marrer avec Vuk Kovasevic. Ils ne sont pas nombreux à sortir de leur pré carré sans se planter la gueule dans une ornière. Bizien est l’un de ceux-là, c’est te dire le talent du bonhomme…
C’est aussi un gus qui suit l’actualité, qui s’est dit que les Gilets Jaunes pouvaient servir de contexte à un roman policier. Le genre de bouquin qui pourrait vite sombrer dans la caricature, sauf que Jean-Luc prend le problème à revers, loin de faire le mouvement une pièce maîtresse de son intrigue, c’est juste un élément indispensable du décor.
Il va t’offrir un duo de flics qui tient la route, loin de la caricature du flic divorcé et alcoolo, il n’en a pas besoin pour que tu « accroches » à ses personnages. Tu es aux côtés de Le Guen pour tenter de comprendre qui flingue ces vieux bourgeois.
Le plus de ce roman ?
L’intelligence…
Je t’explique : Bizien fait un bouquin qui se déroule pendant la crise des Gilets Jaunes, tu te dis que l’auteur va te faire passer des messages « sociaux » via ce mouvement. Ben non, rappelle-toi que la plume, Bizien, il la manipule depuis pas loin de vingt piges, alors il est bien plus malin que ça, et surtout, il aime bien étonner, piéger…
Idem, pas de blanc, pas de noir, du gris, j’entends par là que les protagonistes de ce livre sont des fildeféristes de la vie, toujours en équilibre pour ne pas basculer.
Lire Et puis mourir, le finir, fermer le livre, et puis sourire…
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/01/03/38739232.html