Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Raymond Aron n'a cessé de s'interroger sur l'histoire et l'avenir incertain de l'État d'Israël, et sur les liens qu'un citoyen français pouvait garder...
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Raymond Aron n'a cessé de s'interroger sur l'histoire et l'avenir incertain de l'État d'Israël, et sur les liens qu'un citoyen français pouvait garder avec ce pays singulier. C'est en 1933, lors de ses études de philosophie en Allemagne, qu'il rencontra la " question juive ", en même temps que le tragique de l'histoire et de la pensée allemande. Il ne put, dès lors, écarter de sa réflexion l'aventure du " peuple " juif. De Gaulle, Israël et les juifs, réaction aux propos du Général sur les juifs, " peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur ", et de nombreux essais, inconnus ou méconnus, publiés ici - consacrés à Marx, à Bergson, à Vichy, au terrorisme, à Israël et à la diaspora, à l'affaire Barbie... - témoignent de l'interrogation et de l'inquiétude de toute une vie.
Philosophe et sociologue, Raymond Aron (1905-1983) flat l'un des grands représentants d'une culture française à visée universelle. Professeur à la Sorbonne et au Collège de France, journaliste engagé, il a mis sa plume et sa parole au service de Combat, des Temps modernes, du Figaro, d'Europe n° 1 et de I'Express. On lui doit, entre autres essais, L'Opium des intellectuels (1955), Paix et guerre entre les nations (1962) et Penser la guerre, Clausewitz (1976).