Deux petits textes d'une beauté singulière, irradiante où chaque mots raisonnent comme un appel à la lenteur, à la contemplation du vivant dans la brume naissante d'un matin qui se découvre, dans la sueur des couleurs d'une fraiche moisson.
Gustave Roud, effleure la langue de toute sa poésie pour célébrer la terre et l'amitié, le travail paysan, les traces d'un paysage qui défilent aux chuchotements du vent.
C'est une errance sur les chemins, une errance d'une beauté minérale, intense et douce comme les graminées balayées par les vents d'un soir d'été.
Entre les solitudes et les vibrations de tous les instants.
Deux court textes comme une petite parenthèse que l'on cueille comme une grappe de plénitude, les yeux gonflés d'images sur les bruissements du monde qui se dessinent à nous.
Deux petits textes d'une beauté singulière, irradiante où chaque mots raisonnent comme un appel à la lenteur, à la contemplation du vivant dans la brume naissante d'un matin qui se découvre, dans la sueur des couleurs d'une fraiche moisson.
Gustave Roud, effleure la langue de toute sa poésie pour célébrer la terre et l'amitié, le travail paysan, les traces d'un paysage qui défilent aux chuchotements du vent.
C'est une errance sur les chemins, une errance d'une beauté minérale, intense et douce comme les graminées balayées par les vents d'un soir d'été.
Entre les solitudes et les vibrations de tous les instants.
Deux court textes comme une petite parenthèse que l'on cueille comme une grappe de plénitude, les yeux gonflés d'images sur les bruissements du monde qui se dessinent à nous.