Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Diogène Laërce rapporte l'opinion selon laquelle le premier des sceptiques était Homère ; il dit ainsi, avec ses mots de doxographe, que le scepticisme...
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Diogène Laërce rapporte l'opinion selon laquelle le premier des sceptiques était Homère ; il dit ainsi, avec ses mots de doxographe, que le scepticisme suit la philosophie " comme l'ombre suit le corps ". Or le seul exposé complet de cet envers du rationalisme grec à nous être parvenu est celui de Sextus Empiricus, et les " Esquisses pyrrhoniennes ", petite somme de philosophie sceptique du IIe siècle de notre ère, sont l'une des clefs du penser antique. Lorsque les " Esquisses " furent traduites par Henri Estienne en 1562, on y reconnut immédiatement l'un des références de la pensée nouvelle. De cette œuvre, trop dédaignée des spécialistes jusqu'à une date récente (il n'en existait même plus en librairie de traduction française), on donne ici le texte intégral accompagné d'un glossaire philosophique.