Espionnes. Histoires d'agents secrètes de la DGSE, de la CIA, du MI5, du KGB, du Mossad et de la Stasi

Par : Wilhelm Dietl

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  • Nombre de pages393
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.316 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,7 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-36942-246-4
  • EAN9782369422464
  • Date de parution24/03/2016
  • CollectionPoche Documents
  • ÉditeurNouveau Monde
  • TraducteurNadège Marguerite

Résumé

Dominique Prieur Opération satanique "Si la terre est malade et que les animaux disparaissent, alors les combattants du Rainbow Warrior feront tout pour protéger les créatures sauvages et sauver la terre". Greenpeace QUAND DOMINIQUE PRIEUR voit qu'il n'y a plus rien à faire, elle se met à pleurer à chaudes larmes. La première fois, personne ne reste indifférent ; on a envie de la consoler. Ca n'est pas vraiment une réussite.
Après un certain temps, quand les personnes de son entourage se sont habituées à cette femme coquette, unique en son genre, elles ne s'en étonnent plus. Dominique Prieur aime bien pleurer. Elle-même avoue que cette tactique lui permet de se créer une marge de manoeuvre dans les situations de détresse. Lorsqu'elle va vraiment mal, ses cauchemars ressurgissent, sans qu'elle ne puisse rien y faire. La machine invisible à remonter le temps la ramène en ce jour du 27 août 1944.
Les scènes d'un film défilent devant ses yeux - dix jours avant la Libération, dans ce petit village perdu de Valdahon, sur la rive française du lac de Genève. C'est dimanche et il fait chaud. Dix personnes sont assises dans le jardin. Elles sont en train de manger tout en discutant. Soudain, un groupe d'hommes armés fait irruption au milieu de ce cadre idyllique ; des mercenaires des temps modernes, membre d'une milice qui ne cachait pas sa sympathie pour les nazis, accompagnés d'un détachement de SS d'origine ukrainienne.
Ils cherchent des résistants. Quelques mots rapidement sont échangés. Peut-être croient-ils avoir trouvé ceux qu'ils cherchent, peut-être sont-ils seu­lement en colère. Toujours est-il qu'ils alignent au mur huit des dix civils et les fusillent de quelques brèves salves de mitraillettes. Cinq hommes et trois femmes. Le massacre prend fin quand ils donnent le coup de grâce aux survivants. Les victimes laissent derrière eux 18 orphelins.
Parmi eux se trou­vent les futurs parents de Dominique Prieur : Renée et Louis. En 1947, ils se marieront et, deux années plus tard, leur fille Dominique Prieur naîtra. Quand elle y pense, elle a l'impression d'avoir assisté à la scène, dans ce jardin de Valdahon, où - en quelques minutes - l'idylle d'une légère journée d'été s'est transformée en une scène d'enfer. Trop souvent, ce film a défilé dans sa tête, jusqu'aux moindres détails.
Et ces démons la tourmentent pendant la nuit. Dominique Prieur peut se mettre à pleurer à tout moment. La vie lui a appris à le faire. Savoir si elle utilise toujours cette stratégie à bon escient est une autre affaire. Présentation de l'éditeur Quand on parle des femmes agents secrets, les noms de Mata Hari ou de Christine Keeler viennent à l'esprit. Pourtant ces dernières n'ont pas été de vraies espionnes : elles ont seulement servi d'appât sexuel dans de grandes affaires d'espionnage.
La réalité des "agents secrètes" est tout autre. Dominique Prieur de la DGSE, Stella Rimington, la chef du MI5 britannique, ou Marita Lorenz, l'espionne de Fidel Castro, ont toutes mené des carrières plus discrètes, mais aussi plus passionnantes. Durant des années, Wilhelm Dietl, l'un des experts allemands du renseignement, a rencontré d'anciennes espionnes, parfois encore actives, et leur a demandé de raconter leur vie.
Ces différents témoignages convergent sur un point : que ce soit par instinct, par ruse ou par connaissance du terrain, les nouvelles Jane Bond remportent souvent plus de succès que leurs collègues masculins. L'auteur nous ouvre les portes du monde caché de ces femmes travaillant au sein de la DGSE, de la CIA, du MI5, du KGB, du Mossad ou de la Stasi. Il nous révèle leurs discrètes victoires mais aussi leurs échecs, leurs histoires d'amour teintées d'amertume et les odieuses trahisons dont elles sont parfois victimes.
Le voile de mystère qui flottait sur ces mythes féminins est désormais levé.
Dominique Prieur Opération satanique "Si la terre est malade et que les animaux disparaissent, alors les combattants du Rainbow Warrior feront tout pour protéger les créatures sauvages et sauver la terre". Greenpeace QUAND DOMINIQUE PRIEUR voit qu'il n'y a plus rien à faire, elle se met à pleurer à chaudes larmes. La première fois, personne ne reste indifférent ; on a envie de la consoler. Ca n'est pas vraiment une réussite.
Après un certain temps, quand les personnes de son entourage se sont habituées à cette femme coquette, unique en son genre, elles ne s'en étonnent plus. Dominique Prieur aime bien pleurer. Elle-même avoue que cette tactique lui permet de se créer une marge de manoeuvre dans les situations de détresse. Lorsqu'elle va vraiment mal, ses cauchemars ressurgissent, sans qu'elle ne puisse rien y faire. La machine invisible à remonter le temps la ramène en ce jour du 27 août 1944.
Les scènes d'un film défilent devant ses yeux - dix jours avant la Libération, dans ce petit village perdu de Valdahon, sur la rive française du lac de Genève. C'est dimanche et il fait chaud. Dix personnes sont assises dans le jardin. Elles sont en train de manger tout en discutant. Soudain, un groupe d'hommes armés fait irruption au milieu de ce cadre idyllique ; des mercenaires des temps modernes, membre d'une milice qui ne cachait pas sa sympathie pour les nazis, accompagnés d'un détachement de SS d'origine ukrainienne.
Ils cherchent des résistants. Quelques mots rapidement sont échangés. Peut-être croient-ils avoir trouvé ceux qu'ils cherchent, peut-être sont-ils seu­lement en colère. Toujours est-il qu'ils alignent au mur huit des dix civils et les fusillent de quelques brèves salves de mitraillettes. Cinq hommes et trois femmes. Le massacre prend fin quand ils donnent le coup de grâce aux survivants. Les victimes laissent derrière eux 18 orphelins.
Parmi eux se trou­vent les futurs parents de Dominique Prieur : Renée et Louis. En 1947, ils se marieront et, deux années plus tard, leur fille Dominique Prieur naîtra. Quand elle y pense, elle a l'impression d'avoir assisté à la scène, dans ce jardin de Valdahon, où - en quelques minutes - l'idylle d'une légère journée d'été s'est transformée en une scène d'enfer. Trop souvent, ce film a défilé dans sa tête, jusqu'aux moindres détails.
Et ces démons la tourmentent pendant la nuit. Dominique Prieur peut se mettre à pleurer à tout moment. La vie lui a appris à le faire. Savoir si elle utilise toujours cette stratégie à bon escient est une autre affaire. Présentation de l'éditeur Quand on parle des femmes agents secrets, les noms de Mata Hari ou de Christine Keeler viennent à l'esprit. Pourtant ces dernières n'ont pas été de vraies espionnes : elles ont seulement servi d'appât sexuel dans de grandes affaires d'espionnage.
La réalité des "agents secrètes" est tout autre. Dominique Prieur de la DGSE, Stella Rimington, la chef du MI5 britannique, ou Marita Lorenz, l'espionne de Fidel Castro, ont toutes mené des carrières plus discrètes, mais aussi plus passionnantes. Durant des années, Wilhelm Dietl, l'un des experts allemands du renseignement, a rencontré d'anciennes espionnes, parfois encore actives, et leur a demandé de raconter leur vie.
Ces différents témoignages convergent sur un point : que ce soit par instinct, par ruse ou par connaissance du terrain, les nouvelles Jane Bond remportent souvent plus de succès que leurs collègues masculins. L'auteur nous ouvre les portes du monde caché de ces femmes travaillant au sein de la DGSE, de la CIA, du MI5, du KGB, du Mossad ou de la Stasi. Il nous révèle leurs discrètes victoires mais aussi leurs échecs, leurs histoires d'amour teintées d'amertume et les odieuses trahisons dont elles sont parfois victimes.
Le voile de mystère qui flottait sur ces mythes féminins est désormais levé.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Dommage...
Sujet très intéressant bien sûr. Mais la traduction est de piètre qualité ce qui nuit beaucoup à la compréhension. Tant sur le fond que sur la forme syntaxique !
Sujet très intéressant bien sûr. Mais la traduction est de piètre qualité ce qui nuit beaucoup à la compréhension. Tant sur le fond que sur la forme syntaxique !