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Emeutes, révoltes urbaines et réactions sociales. Acteurs et pacificateurs de désordre dans les quartiers (im)populaires
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- Nombre de pages425
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,0 cm
- ISBN979-10-346-0955-0
- EAN9791034609550
- Date de parution18/11/2025
- ÉditeurChamp Social (Editions)
Résumé
De Clichy-sous-Bois à Nanterre, des nuits d'automne 2005 aux émeutes et révoltes fulgurantes de l'été 2023, la France est régulièrement secouée par des violences collectives qui trouvent leur épicentre dans les quartiers (im)populaires. Près de vingt ans séparent les violences de 2005 et celles de 2023. Pourtant, les causes structurelles demeurent : ségrégation urbaine, ghettoïsation, discriminations raciales, violences policières, précarité sociale, relégation scolaire, sentiment d'injustice...
Dans un contexte d'intensification des inégalités, ces territoires restent le théâtre d'explosions de colère juvénile où s'expriment des frustrations, des envies de vengeance, des appels à l'aide mais aussi des revendications et parfois des aspirations politiques souvent invisibilisées. Cet ouvrage collectif réunit les analyses de sociologues, politistes et photographes engagés afin d'interroger ces mobilisations violentes et les réponses qu'elles suscitent.
En croisant les regards quelquefois contrastés, il questionne la construction sociale et politique des émeutes et/ou révoltes, leur mise en récit médiatique, leurs racines structurelles, la transformation des formes de protestation ainsi que les réponses sociales, institutionnelles et politiques, entre répression et pacification, qu'elles suscitent. Il articule des analyses empiriques et des approches critiques pour saisir les logiques à l'oeuvre dans ces insurrections contemporaines : faut-il voir dans ces mobilisations un cri irrationnel, une expression de la marginalité ou une action proto-politique stratégique face aux humiliations, aux logiques de ségrégation et aux épreuves des discriminations ? Quel est le rôle des institutions, de la police, des médias, des activistes, des intervenants sociaux et des technologies numériques dans la production ou la pacification de ces désordres ? A quelles conditions les colères peuvent-elles se transformer en luttes collectives ? Ce livre essentiel pour penser la conflictualité urbaine à l'heure de la ghettoïsation, de l'épuisement de l'Etat social et de la montée des populismes sécuritaires réunit, sous la direction de Manuel Boucher, les contributions de Eric Marlière, Gérard Mauger, Orian Lempereur Castelli, Alessio Motta, Atanasio Bugliari Goggia, Walter Greco, Patrice Ballester, Joël Barthelemy, Thomas Sauvadet, Benjamin Hoffmann & Emilie Auger, Laurent Mucchielli, Christian Mouhanna, Ulysse Rabaté et Sami Zegnani, Florian Pietron, Emilie Fernandez Montoya, Ben Art Core et Michel Wieviorka.
Dans un contexte d'intensification des inégalités, ces territoires restent le théâtre d'explosions de colère juvénile où s'expriment des frustrations, des envies de vengeance, des appels à l'aide mais aussi des revendications et parfois des aspirations politiques souvent invisibilisées. Cet ouvrage collectif réunit les analyses de sociologues, politistes et photographes engagés afin d'interroger ces mobilisations violentes et les réponses qu'elles suscitent.
En croisant les regards quelquefois contrastés, il questionne la construction sociale et politique des émeutes et/ou révoltes, leur mise en récit médiatique, leurs racines structurelles, la transformation des formes de protestation ainsi que les réponses sociales, institutionnelles et politiques, entre répression et pacification, qu'elles suscitent. Il articule des analyses empiriques et des approches critiques pour saisir les logiques à l'oeuvre dans ces insurrections contemporaines : faut-il voir dans ces mobilisations un cri irrationnel, une expression de la marginalité ou une action proto-politique stratégique face aux humiliations, aux logiques de ségrégation et aux épreuves des discriminations ? Quel est le rôle des institutions, de la police, des médias, des activistes, des intervenants sociaux et des technologies numériques dans la production ou la pacification de ces désordres ? A quelles conditions les colères peuvent-elles se transformer en luttes collectives ? Ce livre essentiel pour penser la conflictualité urbaine à l'heure de la ghettoïsation, de l'épuisement de l'Etat social et de la montée des populismes sécuritaires réunit, sous la direction de Manuel Boucher, les contributions de Eric Marlière, Gérard Mauger, Orian Lempereur Castelli, Alessio Motta, Atanasio Bugliari Goggia, Walter Greco, Patrice Ballester, Joël Barthelemy, Thomas Sauvadet, Benjamin Hoffmann & Emilie Auger, Laurent Mucchielli, Christian Mouhanna, Ulysse Rabaté et Sami Zegnani, Florian Pietron, Emilie Fernandez Montoya, Ben Art Core et Michel Wieviorka.
De Clichy-sous-Bois à Nanterre, des nuits d'automne 2005 aux émeutes et révoltes fulgurantes de l'été 2023, la France est régulièrement secouée par des violences collectives qui trouvent leur épicentre dans les quartiers (im)populaires. Près de vingt ans séparent les violences de 2005 et celles de 2023. Pourtant, les causes structurelles demeurent : ségrégation urbaine, ghettoïsation, discriminations raciales, violences policières, précarité sociale, relégation scolaire, sentiment d'injustice...
Dans un contexte d'intensification des inégalités, ces territoires restent le théâtre d'explosions de colère juvénile où s'expriment des frustrations, des envies de vengeance, des appels à l'aide mais aussi des revendications et parfois des aspirations politiques souvent invisibilisées. Cet ouvrage collectif réunit les analyses de sociologues, politistes et photographes engagés afin d'interroger ces mobilisations violentes et les réponses qu'elles suscitent.
En croisant les regards quelquefois contrastés, il questionne la construction sociale et politique des émeutes et/ou révoltes, leur mise en récit médiatique, leurs racines structurelles, la transformation des formes de protestation ainsi que les réponses sociales, institutionnelles et politiques, entre répression et pacification, qu'elles suscitent. Il articule des analyses empiriques et des approches critiques pour saisir les logiques à l'oeuvre dans ces insurrections contemporaines : faut-il voir dans ces mobilisations un cri irrationnel, une expression de la marginalité ou une action proto-politique stratégique face aux humiliations, aux logiques de ségrégation et aux épreuves des discriminations ? Quel est le rôle des institutions, de la police, des médias, des activistes, des intervenants sociaux et des technologies numériques dans la production ou la pacification de ces désordres ? A quelles conditions les colères peuvent-elles se transformer en luttes collectives ? Ce livre essentiel pour penser la conflictualité urbaine à l'heure de la ghettoïsation, de l'épuisement de l'Etat social et de la montée des populismes sécuritaires réunit, sous la direction de Manuel Boucher, les contributions de Eric Marlière, Gérard Mauger, Orian Lempereur Castelli, Alessio Motta, Atanasio Bugliari Goggia, Walter Greco, Patrice Ballester, Joël Barthelemy, Thomas Sauvadet, Benjamin Hoffmann & Emilie Auger, Laurent Mucchielli, Christian Mouhanna, Ulysse Rabaté et Sami Zegnani, Florian Pietron, Emilie Fernandez Montoya, Ben Art Core et Michel Wieviorka.
Dans un contexte d'intensification des inégalités, ces territoires restent le théâtre d'explosions de colère juvénile où s'expriment des frustrations, des envies de vengeance, des appels à l'aide mais aussi des revendications et parfois des aspirations politiques souvent invisibilisées. Cet ouvrage collectif réunit les analyses de sociologues, politistes et photographes engagés afin d'interroger ces mobilisations violentes et les réponses qu'elles suscitent.
En croisant les regards quelquefois contrastés, il questionne la construction sociale et politique des émeutes et/ou révoltes, leur mise en récit médiatique, leurs racines structurelles, la transformation des formes de protestation ainsi que les réponses sociales, institutionnelles et politiques, entre répression et pacification, qu'elles suscitent. Il articule des analyses empiriques et des approches critiques pour saisir les logiques à l'oeuvre dans ces insurrections contemporaines : faut-il voir dans ces mobilisations un cri irrationnel, une expression de la marginalité ou une action proto-politique stratégique face aux humiliations, aux logiques de ségrégation et aux épreuves des discriminations ? Quel est le rôle des institutions, de la police, des médias, des activistes, des intervenants sociaux et des technologies numériques dans la production ou la pacification de ces désordres ? A quelles conditions les colères peuvent-elles se transformer en luttes collectives ? Ce livre essentiel pour penser la conflictualité urbaine à l'heure de la ghettoïsation, de l'épuisement de l'Etat social et de la montée des populismes sécuritaires réunit, sous la direction de Manuel Boucher, les contributions de Eric Marlière, Gérard Mauger, Orian Lempereur Castelli, Alessio Motta, Atanasio Bugliari Goggia, Walter Greco, Patrice Ballester, Joël Barthelemy, Thomas Sauvadet, Benjamin Hoffmann & Emilie Auger, Laurent Mucchielli, Christian Mouhanna, Ulysse Rabaté et Sami Zegnani, Florian Pietron, Emilie Fernandez Montoya, Ben Art Core et Michel Wieviorka.