Embellir, bâtir, demeurer. L'architecture dans la littérature des Lumières
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- Nombre de pages494
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.68 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,6 cm
- ISBN978-2-406-06989-8
- EAN9782406069898
- Date de parution15/11/2017
- CollectionL'Europe des Lumières
- ÉditeurClassiques Garnier
Résumé
Les questions d'architecture, qui sont au coeur des enjeux culturels des Lumières, nourrissent en profondeur l'imaginaire littéraire. Ce livre explore les formes et figures de cet imaginaire, en envisageant le fait architectural dans toutes ses dimensions. Comme discipline, l'architecture traverse une période de mutations sans précédent : la presse relaie largement les débats sur les embellissements de la capitale, dont s'inspire aussi la littérature utopique.
Comme pratique, l'architecture engage un geste de construction, dont la littérature exploite la valeur symbolique, pour interroger, à nouveaux frais, les rapports de l'homme à la nature et à la société. Enfin, comme espace - espace pratiqué, habité - l'architecture s'impose désormais comme une composante décisive de l'imaginaire romanesque.
Comme pratique, l'architecture engage un geste de construction, dont la littérature exploite la valeur symbolique, pour interroger, à nouveaux frais, les rapports de l'homme à la nature et à la société. Enfin, comme espace - espace pratiqué, habité - l'architecture s'impose désormais comme une composante décisive de l'imaginaire romanesque.
Les questions d'architecture, qui sont au coeur des enjeux culturels des Lumières, nourrissent en profondeur l'imaginaire littéraire. Ce livre explore les formes et figures de cet imaginaire, en envisageant le fait architectural dans toutes ses dimensions. Comme discipline, l'architecture traverse une période de mutations sans précédent : la presse relaie largement les débats sur les embellissements de la capitale, dont s'inspire aussi la littérature utopique.
Comme pratique, l'architecture engage un geste de construction, dont la littérature exploite la valeur symbolique, pour interroger, à nouveaux frais, les rapports de l'homme à la nature et à la société. Enfin, comme espace - espace pratiqué, habité - l'architecture s'impose désormais comme une composante décisive de l'imaginaire romanesque.
Comme pratique, l'architecture engage un geste de construction, dont la littérature exploite la valeur symbolique, pour interroger, à nouveaux frais, les rapports de l'homme à la nature et à la société. Enfin, comme espace - espace pratiqué, habité - l'architecture s'impose désormais comme une composante décisive de l'imaginaire romanesque.