Dynamique syndicale dans l'enseignement supérieur au Sénégal. L'exemple du SAES
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- Nombre de pages203
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.327 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-343-14693-5
- EAN9782343146935
- Date de parution21/06/2018
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierBabacar Diop Buuba
Résumé
L'histoire du mouvement syndical sénégalais dans l'enseignement en général est ancienne (depuis 1937), mais relativement récente dans le secteur de l'enseignement supérieur (depuis la décennie 70). Né le 27 avril 1985, à l'Université de Dakar, le Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (SAES) est le fruit de la vision de quelques enseignants du Syndicat Unique et Démocratique des Enseignants du Sénégal (SUDES) qui ont estimé, d'une part, que leurs préoccupations n'étaient pas prises en compte dans les plateformes revendicatives , d'autre part, que le SUDES était traversé par des querelles internes et de leadership.
Son irruption dans l'espace universitaire est donc venue changer le peu d'intérêt que les dirigeants sénégalais eurent, de l'indépendance survenue en 1960 jusqu'au milieu de la décennie 80, pour la question de l'enseignement supérieur. Le SAES est présent aujourd'hui dans les cinq universités du Sénégal où il totalise 60,5 % des enseignants-chercheurs. Cette monographie basée sur des données historiques et sociologiques permet d'avoir d'amples informations sur l'un des syndicats les mieux structurés de l'enseignement supérieur en Afrique.
Son irruption dans l'espace universitaire est donc venue changer le peu d'intérêt que les dirigeants sénégalais eurent, de l'indépendance survenue en 1960 jusqu'au milieu de la décennie 80, pour la question de l'enseignement supérieur. Le SAES est présent aujourd'hui dans les cinq universités du Sénégal où il totalise 60,5 % des enseignants-chercheurs. Cette monographie basée sur des données historiques et sociologiques permet d'avoir d'amples informations sur l'un des syndicats les mieux structurés de l'enseignement supérieur en Afrique.
L'histoire du mouvement syndical sénégalais dans l'enseignement en général est ancienne (depuis 1937), mais relativement récente dans le secteur de l'enseignement supérieur (depuis la décennie 70). Né le 27 avril 1985, à l'Université de Dakar, le Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (SAES) est le fruit de la vision de quelques enseignants du Syndicat Unique et Démocratique des Enseignants du Sénégal (SUDES) qui ont estimé, d'une part, que leurs préoccupations n'étaient pas prises en compte dans les plateformes revendicatives , d'autre part, que le SUDES était traversé par des querelles internes et de leadership.
Son irruption dans l'espace universitaire est donc venue changer le peu d'intérêt que les dirigeants sénégalais eurent, de l'indépendance survenue en 1960 jusqu'au milieu de la décennie 80, pour la question de l'enseignement supérieur. Le SAES est présent aujourd'hui dans les cinq universités du Sénégal où il totalise 60,5 % des enseignants-chercheurs. Cette monographie basée sur des données historiques et sociologiques permet d'avoir d'amples informations sur l'un des syndicats les mieux structurés de l'enseignement supérieur en Afrique.
Son irruption dans l'espace universitaire est donc venue changer le peu d'intérêt que les dirigeants sénégalais eurent, de l'indépendance survenue en 1960 jusqu'au milieu de la décennie 80, pour la question de l'enseignement supérieur. Le SAES est présent aujourd'hui dans les cinq universités du Sénégal où il totalise 60,5 % des enseignants-chercheurs. Cette monographie basée sur des données historiques et sociologiques permet d'avoir d'amples informations sur l'un des syndicats les mieux structurés de l'enseignement supérieur en Afrique.