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Du réel au vrai. Essai de philosophie réaliste
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- Nombre de pages278
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.423 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-336-52632-4
- EAN9782336526324
- Date de parution28/08/2025
- CollectionOuverture philosophique
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les choses sont constituées de matière, pas de présence. Il n'y a donc aucun sens à vouloir comparer les choses telles qu'elles se montrent à nous à ce qu'elles pourraient bien être en elles-mêmes. En fait, leur présence pour nous, inévitablement relative à nous, est leur seul visage. Cela veut dire que les choses se présentent à nous elles-mêmes, et mieux encore telles quelles. Il n'y a pas d'apparences, il n'y a pas de représentations, nous avons affaire aux choses mêmes, qui nous sont données jusqu'en leur réalité même.
Le monde cependant ne se montrera jamais à nous que par rapport à nous, à nos organes des sens, et à nos exigences pratiques. La perception a pour fonction de guider l'action, pas de nous délivrer une connaissance objective du monde. La vérité est-elle alors inaccessible ?? Absolument pas, car le processus d'objectivation mis en oeuvre par la science permet de se délivrer de la dimension subjective de la perception.
La science parvient ainsi à se défaire, péniblement mais assurément, du subjectivisme et du relativisme. C'est heureux, parce que ceux-ci ne conduisent qu'à la guerre de chacun contre tous.
Le monde cependant ne se montrera jamais à nous que par rapport à nous, à nos organes des sens, et à nos exigences pratiques. La perception a pour fonction de guider l'action, pas de nous délivrer une connaissance objective du monde. La vérité est-elle alors inaccessible ?? Absolument pas, car le processus d'objectivation mis en oeuvre par la science permet de se délivrer de la dimension subjective de la perception.
La science parvient ainsi à se défaire, péniblement mais assurément, du subjectivisme et du relativisme. C'est heureux, parce que ceux-ci ne conduisent qu'à la guerre de chacun contre tous.
Les choses sont constituées de matière, pas de présence. Il n'y a donc aucun sens à vouloir comparer les choses telles qu'elles se montrent à nous à ce qu'elles pourraient bien être en elles-mêmes. En fait, leur présence pour nous, inévitablement relative à nous, est leur seul visage. Cela veut dire que les choses se présentent à nous elles-mêmes, et mieux encore telles quelles. Il n'y a pas d'apparences, il n'y a pas de représentations, nous avons affaire aux choses mêmes, qui nous sont données jusqu'en leur réalité même.
Le monde cependant ne se montrera jamais à nous que par rapport à nous, à nos organes des sens, et à nos exigences pratiques. La perception a pour fonction de guider l'action, pas de nous délivrer une connaissance objective du monde. La vérité est-elle alors inaccessible ?? Absolument pas, car le processus d'objectivation mis en oeuvre par la science permet de se délivrer de la dimension subjective de la perception.
La science parvient ainsi à se défaire, péniblement mais assurément, du subjectivisme et du relativisme. C'est heureux, parce que ceux-ci ne conduisent qu'à la guerre de chacun contre tous.
Le monde cependant ne se montrera jamais à nous que par rapport à nous, à nos organes des sens, et à nos exigences pratiques. La perception a pour fonction de guider l'action, pas de nous délivrer une connaissance objective du monde. La vérité est-elle alors inaccessible ?? Absolument pas, car le processus d'objectivation mis en oeuvre par la science permet de se délivrer de la dimension subjective de la perception.
La science parvient ainsi à se défaire, péniblement mais assurément, du subjectivisme et du relativisme. C'est heureux, parce que ceux-ci ne conduisent qu'à la guerre de chacun contre tous.