Du réel au vrai. Essai de philosophie réaliste
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- Nombre de pages278
- FormatPDF
- ISBN978-2-336-52633-1
- EAN9782336526331
- Date de parution28/08/2025
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les choses sont constituées de matière, pas de présence. Il n'y a donc aucun sens à vouloir comparer les choses telles qu'elles se montrent à nous à ce qu'elles pourraient bien être en elles-mêmes. En fait, leur présence pour nous, inévitablement relative à nous, est leur seul visage. Cela veut dire que les choses se présentent à nous elles-mêmes, et mieux encore telles quelles. Il n'y a pas d'apparences, il n'y a pas de représentations, nous avons affaire aux choses mêmes, qui nous sont données jusqu'en leur réalité même.
Le monde cependant ne se montrera jamais à nous que par rapport à nous, à nos organes des sens, et à nos exigences pratiques.
La perception a pour fonction de guider l'action, pas de nous délivrer une connaissance objective du monde. La vérité est-elle alors inaccessible?? Absolument pas, car le processus d'objectivation mis en ouvre par la science permet de se délivrer de la dimension subjective de la perception. La science parvient ainsi à se défaire, péniblement mais assurément, du subjectivisme et du relativisme. C'est heureux, parce que ceux-ci ne conduisent qu'à la guerre de chacun contre tous.
La perception a pour fonction de guider l'action, pas de nous délivrer une connaissance objective du monde. La vérité est-elle alors inaccessible?? Absolument pas, car le processus d'objectivation mis en ouvre par la science permet de se délivrer de la dimension subjective de la perception. La science parvient ainsi à se défaire, péniblement mais assurément, du subjectivisme et du relativisme. C'est heureux, parce que ceux-ci ne conduisent qu'à la guerre de chacun contre tous.
Les choses sont constituées de matière, pas de présence. Il n'y a donc aucun sens à vouloir comparer les choses telles qu'elles se montrent à nous à ce qu'elles pourraient bien être en elles-mêmes. En fait, leur présence pour nous, inévitablement relative à nous, est leur seul visage. Cela veut dire que les choses se présentent à nous elles-mêmes, et mieux encore telles quelles. Il n'y a pas d'apparences, il n'y a pas de représentations, nous avons affaire aux choses mêmes, qui nous sont données jusqu'en leur réalité même.
Le monde cependant ne se montrera jamais à nous que par rapport à nous, à nos organes des sens, et à nos exigences pratiques.
La perception a pour fonction de guider l'action, pas de nous délivrer une connaissance objective du monde. La vérité est-elle alors inaccessible?? Absolument pas, car le processus d'objectivation mis en ouvre par la science permet de se délivrer de la dimension subjective de la perception. La science parvient ainsi à se défaire, péniblement mais assurément, du subjectivisme et du relativisme. C'est heureux, parce que ceux-ci ne conduisent qu'à la guerre de chacun contre tous.
La perception a pour fonction de guider l'action, pas de nous délivrer une connaissance objective du monde. La vérité est-elle alors inaccessible?? Absolument pas, car le processus d'objectivation mis en ouvre par la science permet de se délivrer de la dimension subjective de la perception. La science parvient ainsi à se défaire, péniblement mais assurément, du subjectivisme et du relativisme. C'est heureux, parce que ceux-ci ne conduisent qu'à la guerre de chacun contre tous.