Dramatique des phénomènes

Par : Didier Franck
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages162
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions15,1 cm × 21,7 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-13-052081-2
  • EAN9782130520818
  • Date de parution05/09/2001
  • CollectionEpiméthée
  • ÉditeurPUF

Résumé

Pratiquer la phénoménologie, c'est reconduire les choses et les concepts aux horizons ou aux situations selon lesquels nous y accédons. Qu'advient-il si cet accès n'est plus seulement le fait du regard objectivant de la conscience ou de la préoccupation de l'existant mais également l'œuvre du corps ? A la description des phénomènes se substitue alors l'enchaînement des scènes où ils apparaissent et dont ils sont la concrétisation : une dramatique des phénomènes.
Qu'il s'agisse, par exemple, des relations entre le temps et la chair chez Husserl, l'être et le vivant selon Heidegger, la différence ontologique et le corps pour Levinas, les études ici réunies s'attachent à cette dramatique des phénomènes qui atteste que les relations éidétiques ne sont pas des liens désincarnés.
Pratiquer la phénoménologie, c'est reconduire les choses et les concepts aux horizons ou aux situations selon lesquels nous y accédons. Qu'advient-il si cet accès n'est plus seulement le fait du regard objectivant de la conscience ou de la préoccupation de l'existant mais également l'œuvre du corps ? A la description des phénomènes se substitue alors l'enchaînement des scènes où ils apparaissent et dont ils sont la concrétisation : une dramatique des phénomènes.
Qu'il s'agisse, par exemple, des relations entre le temps et la chair chez Husserl, l'être et le vivant selon Heidegger, la différence ontologique et le corps pour Levinas, les études ici réunies s'attachent à cette dramatique des phénomènes qui atteste que les relations éidétiques ne sont pas des liens désincarnés.