Le duo le plus prometteur de la scène comics indépendante propose une revisite de Dracula, James Tynion IV et Martin Simmonds, le duo derrière The Department of Truth, reviennent en force et nous ne sommes clairement pas prêts !
L’histoire de Dracula, ou tout du moins ses éléments phares, tout le monde les connaît un tant soit peu : le docteur Van Helsing, le servile et dément Renfield, la figure iconique de Dracula… Ces éléments, agglomérés à ceux du film de 1931, ont construit une iconographie très précise de ce cher comte vampire et c’est avec ces éléments que le duo formé par Tynion IV et Simmonds s'amuse, au détour d’une explosion graphique de tous les instants.
Le trait épais, presque laiteux, de Simmonds offre son lot de moments vertigineux où l'aura vampirique du comte envahit tout l'espace, dans un chaos de rouge carmin et de blanc crème, qui rappelle par certaines compositions le travail de George Bess, lui qui avait adapté le roman en 2019. Mais là où l'œuvre du duo arrive à se démarquer des autres versions, c'est en développant davantage l'une des figures clés du récit vampirique, mais souvent trop délaissée, qu'est celle de Renfield.
Dracula, vu par le duo Tynion IV et Simmonds, est un objet graphique somptueux, qui sait renouveler une formule maintes fois revisitée.
Le duo le plus prometteur de la scène comics indépendante propose une revisite de Dracula, James Tynion IV et Martin Simmonds, le duo derrière The Department of Truth, reviennent en force et nous ne sommes clairement pas prêts !
L’histoire de Dracula, ou tout du moins ses éléments phares, tout le monde les connaît un tant soit peu : le docteur Van Helsing, le servile et dément Renfield, la figure iconique de Dracula… Ces éléments, agglomérés à ceux du film de 1931, ont construit une iconographie très précise de ce cher comte vampire et c’est avec ces éléments que le duo formé par Tynion IV et Simmonds s'amuse, au détour d’une explosion graphique de tous les instants.
Le trait épais, presque laiteux, de Simmonds offre son lot de moments vertigineux où l'aura vampirique du comte envahit tout l'espace, dans un chaos de rouge carmin et de blanc crème, qui rappelle par certaines compositions le travail de George Bess, lui qui avait adapté le roman en 2019. Mais là où l'œuvre du duo arrive à se démarquer des autres versions, c'est en développant davantage l'une des figures clés du récit vampirique, mais souvent trop délaissée, qu'est celle de Renfield.
Dracula, vu par le duo Tynion IV et Simmonds, est un objet graphique somptueux, qui sait renouveler une formule maintes fois revisitée.