Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les Discours politiques (1752-1760) comportent 16 essais, composés sur le ton de la conversation, qui traitent le plus souvent d'économie. Mais - et...
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Résumé
Les Discours politiques (1752-1760) comportent 16 essais, composés sur le ton de la conversation, qui traitent le plus souvent d'économie. Mais - et le plaidoyer sur lequel ils s'ouvrent en avertit le lecteur - ils mettent en œuvre "la pensée profonde" (celle qui s'occupe de "sujets généraux"), non "la pensée superficielle" qui délibère dans les affaires particulières. Car c'est en philosophe que Hume aborde l'économie, opposant son naturalisme sceptique à toute entreprise métaphysique - théologique, téléologique ou contractualiste - qui viserait à endiguer le développement illimité de l'activité (industry), la passion moderne. Le lecteur peut découvrir dans le récit de la vie de Hume par lui-même (publié ici en ouverture) que ces discours firent connaître leur auteur à l'Europe de son temps et qu'ils constituent le seul de ses ouvrages ayant rencontré le succès dès sa parution - une révélation qui rend plus étonnant encore l'oubli de cette œuvre fondamentale par le public français depuis 1888, date de sa dernière traduction française, fautive et lacunaire comme les précédentes. Nous écartons, bien entendu, le choix d'Essais politiques édité par R. Polin chez Vrin en 1972, fac-similé partiel d'une traduction du XVIIIème siècle qui laisse de côté la quasi-totalité des essais de 1752. La traduction que nous donnons ici d'après The Philosophical Works, édités par Green and Grose, qui reprennent l'édition posthume et autorisée de 1777, est donc nouvelle et intégrale.